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J'ai du coeur sur les mains.
À ma foi futile, ce bûcher rond, montreur d'en bas, si loin des êtres.
À la fois fertile et bûcheron, mon coeur abat si bien des hetres.
Ses battements rythment le martèlement de mes poings et celui de mes songes.
C'est bêtement, l'hymne dû mortellement à l'appoint de celui qui songe.
Celui qu'il représente peut élever puis ecraser l'homme sans l'ombre d'un regret.
C'est lui qui se présente, bleu et levé, pluie encrasée, dôme à l'ombre du rejet.
D'un rang surhumain, par lui, sans entrain je suis pâtre.
Du sang sur les mains car il m'a contraint à me battre.
Les choeurs furent demain car le bas passé entre au noir de douleur.
Le coeur sur la main car il m'a laissé entrevoir sa couleur.
À ma foi futile, ce bûcher rond, montreur d'en bas, si loin des êtres.
À la fois fertile et bûcheron, mon coeur abat si bien des hetres.
Ses battements rythment le martèlement de mes poings et celui de mes songes.
C'est bêtement, l'hymne dû mortellement à l'appoint de celui qui songe.
Celui qu'il représente peut élever puis ecraser l'homme sans l'ombre d'un regret.
C'est lui qui se présente, bleu et levé, pluie encrasée, dôme à l'ombre du rejet.
D'un rang surhumain, par lui, sans entrain je suis pâtre.
Du sang sur les mains car il m'a contraint à me battre.
Les choeurs furent demain car le bas passé entre au noir de douleur.
Le coeur sur la main car il m'a laissé entrevoir sa couleur.
