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LARME D'UNE VIE...
Seul dans mon coin perdu,je retiens mes larmes
Avant de lâcher une première larme de mon oeil
J'ai fortement le sentiment de ressembler à une
Source qui ne peut plus retenir la pluie déja filtrée
Par le long travail de la terre d'argile
Comme déborde un vase qui ne peut recevoir plus d'eau
De ce même oeil déborde l'écoulement de mes larmes
Au goût salé,jusqu'à prendre forme d'une rivière tout
Le long de mon visage,du deuxième oeil glisse de
Chaude larmes comme l'embouchure d'une rivière
Qui finit son voyage dans une mer agitée
Cette fois c'est à petits pas que j'avance dans l'océan
Je me libère de mes vêtements déja tout mouillés
J'avance tout en ne me méfiant pas jusqu'au chevilles
Je me laisse prendre en confiance par les vagues
l'océan monte à mes genoux et la marée qui sans
Mêle ce paye l'eau jusqu'à ma taille
Les vagues me font vaciller,quand les vagues et la
Marée s'associe j'essaye de garder le pied juste
Ciel et mer se confondent loin dans l'horizon,je me suis
Laissé tromper par les ténèbres et la profondeur océanique
Coincer dans le froid de l'océan
Prendre conscience de mon existence et me
Débattre pour ma vie,comme un bébé au sein
De sa mère se replis sur lui-même espèrant une renaissance
C'est une petite sirène qui vient a mon secours
Et me ramène sans dire un mot sur une ile déserte
Réchauffe mon coeur,avant de revenir à moi
Et retrouver goût a la vie,comme seul remerciment
Un doux baiser sur la bouche...
André Perron
25 Mai 2010,Revu et corriger le 29-07-2018
Tous Droits Réservés
Seul dans mon coin perdu,je retiens mes larmes
Avant de lâcher une première larme de mon oeil
J'ai fortement le sentiment de ressembler à une
Source qui ne peut plus retenir la pluie déja filtrée
Par le long travail de la terre d'argile
Comme déborde un vase qui ne peut recevoir plus d'eau
De ce même oeil déborde l'écoulement de mes larmes
Au goût salé,jusqu'à prendre forme d'une rivière tout
Le long de mon visage,du deuxième oeil glisse de
Chaude larmes comme l'embouchure d'une rivière
Qui finit son voyage dans une mer agitée
Cette fois c'est à petits pas que j'avance dans l'océan
Je me libère de mes vêtements déja tout mouillés
J'avance tout en ne me méfiant pas jusqu'au chevilles
Je me laisse prendre en confiance par les vagues
l'océan monte à mes genoux et la marée qui sans
Mêle ce paye l'eau jusqu'à ma taille
Les vagues me font vaciller,quand les vagues et la
Marée s'associe j'essaye de garder le pied juste
Ciel et mer se confondent loin dans l'horizon,je me suis
Laissé tromper par les ténèbres et la profondeur océanique
Coincer dans le froid de l'océan
Prendre conscience de mon existence et me
Débattre pour ma vie,comme un bébé au sein
De sa mère se replis sur lui-même espèrant une renaissance
C'est une petite sirène qui vient a mon secours
Et me ramène sans dire un mot sur une ile déserte
Réchauffe mon coeur,avant de revenir à moi
Et retrouver goût a la vie,comme seul remerciment
Un doux baiser sur la bouche...
André Perron
25 Mai 2010,Revu et corriger le 29-07-2018
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