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Lucifer aurait-il des haines à satisfaire ?
L’histoire c’est dégouttant on y trouve de tout
De dures vérités et des mensonges doux
Puis des gens qui voulant posséder le pouvoir
Vous promettant la lune vous mènent au trou noir.
Dans le flux politique œuvrant en permanence
Gauche ou droite n’ont pas de réelle importance
Car si de leurs idées ont connaît les racines
Le fric ou le pouvoir leur servent de doctrines,
Au point que sur la route des belles sinécures
Pullulent des élus à la double figure.
Le cours du temps montra que sur la pente douce
Les candidats gourmands vers le néant nous poussent
Et c’est sans amertume qu’à la fin de la fable
La réserve des nuls se montre inépuisable.
Lorsque la concurrence est à ce point sévère
Que l’incapable élu lâchement persévère
Et que le prometteur au siège confortable
Rabâche des promesses bien souvent intenables
On voit péricliter une situation
Qui montre de Satan les interventions.
Déjà très récemment s'offrit un choix terrible
De Charybde ou Scylla nous n’avions que deux cibles
Tous les autres partis n’attirant plus l’oreille
D’éternels votants dont on pique l’oseille.
On eut donc des nouveaux qui sortaient d’un faitout
Où l’on fit bouillonner un étrange ragoût
Et des extrémités qui à force d’écho
Rappelaient du passé d'anciennes paranos
La chance ou le destin ayant jeté ses dès
On récolta des nuls habile à parader .
Et l’on voit peu à peu des mouvements étranges
Remuant un vécu sentant un peu la fange
Des choses excessives mais fondées cependant
Une démocratie faite de mécontents
Et une France qui depuis des décennies
Avait l’économie en état d’asthénie.
Car nul n’avait chiffré la juste différence
Entre le nécessaire et l’excès d’opulence
L’égalité malade en devenait livide
Quand on y ajouta la sinistre Covid
Nouveau souci dit -on efface vieille ire
Le mal c'est connu a le monde pour empire
D’une grande finance disponible en secret
Il fallut des malheurs compenser les effets
Était ce Belzébuth ou quelque Lucifer
Qui s’amusait à nuire à notre vieille terre
On eut pu en douter mais l’incendie infâme
Osa attaquer Dieu prié en Notre Dame
Si vous n’y voyez pas une main diabolique
Comment expliquez vous ces flammes maléfiques ?
Ne vous torturez pas l’esprit pour tout savoir
Ce malheur est bizarre mais n’ayez pas l’espoir
Qu’on vienne l’expliquer d’une façon très claire
L’ignorance, bien sur , arrange Lucifer .
Et puis il faut se battre avec ce que l’on a
La pandémie diffuse largement le trépas
Et si portant des masques avec obéissance
On use de vaccins de maintes provenances
On devrait obtenir le sursis nécessaire
Pour ne mettre qu’un pied au perron de l’enfer.
Le temps c’est évident aura mot de la fin
Il faudra rebâtir sans délai nos destins
Si un peu de sagesse nous rendait exemplaires
L’essentiel viendrait avant le secondaire
On rendrait leur valeur aux tâches peu visibles
Oubliant ceux qui sont par gros temps invisibles
Les habituels gueulards n’ayant plus la parole
Perdraient les voix menant à l’excessif pactole
Car sans ce soucier des promesses tenues
On graisse trop la bourse à de nombreux élus.
Quelque soit les obstacles et l’expérience acquise
Il faudra de l’état trouver juste maîtrise
Écouter ceux qui vivent et ceux dont le labeur
Fait tourner la machine même dans le malheur
Éviter les discours dont le flot mensonger
N’est d’un bonheur promis qu’un triste messager
Bref méditer un peu pour sortir de l’impasse
Où de futurs douteux on sait tromper les masses
De l’inégalité fuir toute dictature
Et redresser un peu ce manque de droiture.
Sont-ce tous ces revers vraiment inévitables
Et ces déconvenues dépourvues de coupables ?
Il faut bien l’espérer car nous eûmes jadis
Des gens dont le pouvoir était un bénéfice.
Les doctrines tirées de sottes théories
Laissent la nation souvent endolorie
Le résultat seul compte est la juste devise
Et tous les annonceurs d’une terre promise
Devraient être chassés définitivement
De postes utilisés comme des paravents.
L’histoire c’est dégouttant on y trouve de tout
De dures vérités et des mensonges doux
Puis des gens qui voulant posséder le pouvoir
Vous promettant la lune vous mènent au trou noir.
Dans le flux politique œuvrant en permanence
Gauche ou droite n’ont pas de réelle importance
Car si de leurs idées ont connaît les racines
Le fric ou le pouvoir leur servent de doctrines,
Au point que sur la route des belles sinécures
Pullulent des élus à la double figure.
Le cours du temps montra que sur la pente douce
Les candidats gourmands vers le néant nous poussent
Et c’est sans amertume qu’à la fin de la fable
La réserve des nuls se montre inépuisable.
Lorsque la concurrence est à ce point sévère
Que l’incapable élu lâchement persévère
Et que le prometteur au siège confortable
Rabâche des promesses bien souvent intenables
On voit péricliter une situation
Qui montre de Satan les interventions.
Déjà très récemment s'offrit un choix terrible
De Charybde ou Scylla nous n’avions que deux cibles
Tous les autres partis n’attirant plus l’oreille
D’éternels votants dont on pique l’oseille.
On eut donc des nouveaux qui sortaient d’un faitout
Où l’on fit bouillonner un étrange ragoût
Et des extrémités qui à force d’écho
Rappelaient du passé d'anciennes paranos
La chance ou le destin ayant jeté ses dès
On récolta des nuls habile à parader .
Et l’on voit peu à peu des mouvements étranges
Remuant un vécu sentant un peu la fange
Des choses excessives mais fondées cependant
Une démocratie faite de mécontents
Et une France qui depuis des décennies
Avait l’économie en état d’asthénie.
Car nul n’avait chiffré la juste différence
Entre le nécessaire et l’excès d’opulence
L’égalité malade en devenait livide
Quand on y ajouta la sinistre Covid
Nouveau souci dit -on efface vieille ire
Le mal c'est connu a le monde pour empire
D’une grande finance disponible en secret
Il fallut des malheurs compenser les effets
Était ce Belzébuth ou quelque Lucifer
Qui s’amusait à nuire à notre vieille terre
On eut pu en douter mais l’incendie infâme
Osa attaquer Dieu prié en Notre Dame
Si vous n’y voyez pas une main diabolique
Comment expliquez vous ces flammes maléfiques ?
Ne vous torturez pas l’esprit pour tout savoir
Ce malheur est bizarre mais n’ayez pas l’espoir
Qu’on vienne l’expliquer d’une façon très claire
L’ignorance, bien sur , arrange Lucifer .
Et puis il faut se battre avec ce que l’on a
La pandémie diffuse largement le trépas
Et si portant des masques avec obéissance
On use de vaccins de maintes provenances
On devrait obtenir le sursis nécessaire
Pour ne mettre qu’un pied au perron de l’enfer.
Le temps c’est évident aura mot de la fin
Il faudra rebâtir sans délai nos destins
Si un peu de sagesse nous rendait exemplaires
L’essentiel viendrait avant le secondaire
On rendrait leur valeur aux tâches peu visibles
Oubliant ceux qui sont par gros temps invisibles
Les habituels gueulards n’ayant plus la parole
Perdraient les voix menant à l’excessif pactole
Car sans ce soucier des promesses tenues
On graisse trop la bourse à de nombreux élus.
Quelque soit les obstacles et l’expérience acquise
Il faudra de l’état trouver juste maîtrise
Écouter ceux qui vivent et ceux dont le labeur
Fait tourner la machine même dans le malheur
Éviter les discours dont le flot mensonger
N’est d’un bonheur promis qu’un triste messager
Bref méditer un peu pour sortir de l’impasse
Où de futurs douteux on sait tromper les masses
De l’inégalité fuir toute dictature
Et redresser un peu ce manque de droiture.
Sont-ce tous ces revers vraiment inévitables
Et ces déconvenues dépourvues de coupables ?
Il faut bien l’espérer car nous eûmes jadis
Des gens dont le pouvoir était un bénéfice.
Les doctrines tirées de sottes théories
Laissent la nation souvent endolorie
Le résultat seul compte est la juste devise
Et tous les annonceurs d’une terre promise
Devraient être chassés définitivement
De postes utilisés comme des paravents.