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- Au pied des volcans d'auvergne
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L'ombre sur l'océan tombe tout doucement
Quand les vagues légères, peu à peu, s'apaisent
Et le souffle du vent en oubli son tourment
C'est alors que la nuit s'étend loin des falaises.
Rien qu'un léger murmure, plane sur la mer
Quand le ciel s'empourpre d'étoiles immortelles
En rayons lumineux, poudroyant l'univers
Créant ainsi un très beau bouquet de dentelle.
Là, debout, sur la grève, ma pensée s'évade
Dans l'ombre de la nuit, mon regard s'est enfui
Tel un dément, l’esprit parti loin en chamade
Tournoie sans grande raison mes désirs fortuits.
En suivant mes pensées troublées et indécises
J'exhorte l'immense génie des océans,
Afin que ma raison et mon talent s'attisent
Comme la fureur de ces puissants ouragans.
C'est à Poséidon que je dis ma tristesse
Et à Hypnos, je confie mes nuits de chagrins
Ma pensée en peine est débordée de détresse
De passions et de peurs, mon cœur est contraint.
Éole, Dieu des vents, souffle sur moi la tempête
Emporte-moi loin, au royaume des valeurs
Tout près des jeunesses d'envoûtement esthète
Afin d'abandonner ce déclin sans bonheur.
Alors, je n'irai pas demander à la terre
M'apporter ce qu'elle n'a jamais su m'offrir
Je pars sur le chemin des rêves libertaire
Tant de joies, de bonheurs sont là à conquérir.
Tango. 27/01/2025.
Quand les vagues légères, peu à peu, s'apaisent
Et le souffle du vent en oubli son tourment
C'est alors que la nuit s'étend loin des falaises.
Rien qu'un léger murmure, plane sur la mer
Quand le ciel s'empourpre d'étoiles immortelles
En rayons lumineux, poudroyant l'univers
Créant ainsi un très beau bouquet de dentelle.
Là, debout, sur la grève, ma pensée s'évade
Dans l'ombre de la nuit, mon regard s'est enfui
Tel un dément, l’esprit parti loin en chamade
Tournoie sans grande raison mes désirs fortuits.
En suivant mes pensées troublées et indécises
J'exhorte l'immense génie des océans,
Afin que ma raison et mon talent s'attisent
Comme la fureur de ces puissants ouragans.
C'est à Poséidon que je dis ma tristesse
Et à Hypnos, je confie mes nuits de chagrins
Ma pensée en peine est débordée de détresse
De passions et de peurs, mon cœur est contraint.
Éole, Dieu des vents, souffle sur moi la tempête
Emporte-moi loin, au royaume des valeurs
Tout près des jeunesses d'envoûtement esthète
Afin d'abandonner ce déclin sans bonheur.
Alors, je n'irai pas demander à la terre
M'apporter ce qu'elle n'a jamais su m'offrir
Je pars sur le chemin des rêves libertaire
Tant de joies, de bonheurs sont là à conquérir.
Tango. 27/01/2025.