- Inscrit
- 27 Septembre 2018
- Messages
- 10,082
- J'aime
- 15,703
- Points
- 183
- Je suis
- Un homme
Hors ligne
Ce poème est un écho au poème d'un ancien jepoémien...
À l'Ombre de Proserpine
Je souffre à découvrir ton martyr douloureux :
Tu aimais Proserpine à t'en remplir les yeux,
Jusqu'au dévoilement de ton aube nouvelle...
Tu vivais cet amour au mensonge pour deux,
Dans l'extase du mot à la couleur des Dieux,
Jusqu'au noircissement de la moindre étincelle...
Tu dis souffrir beaucoup d'avoir aimer pour rien,
Mais n'est-ce donc point toi que le Mal ensorcelle ?
N'as-tu point observé chez cette jouvencelle,
De la fragilité due à quelque vaurien ?
Tu l'accables de maux au regard shakespearien,
Pourtant celle-ci t'aime au feu de sa chandelle;
Sous le feuillage épais de ta plume hirondelle,
Se brise une amitié dans l'espace icarien.
15 février 2025
À l'Ombre de Proserpine
Je souffre à découvrir ton martyr douloureux :
Tu aimais Proserpine à t'en remplir les yeux,
Jusqu'au dévoilement de ton aube nouvelle...
Tu vivais cet amour au mensonge pour deux,
Dans l'extase du mot à la couleur des Dieux,
Jusqu'au noircissement de la moindre étincelle...
Tu dis souffrir beaucoup d'avoir aimer pour rien,
Mais n'est-ce donc point toi que le Mal ensorcelle ?
N'as-tu point observé chez cette jouvencelle,
De la fragilité due à quelque vaurien ?
Tu l'accables de maux au regard shakespearien,
Pourtant celle-ci t'aime au feu de sa chandelle;
Sous le feuillage épais de ta plume hirondelle,
Se brise une amitié dans l'espace icarien.
15 février 2025