Hors ligne
Ce matin, je laisse mon cœur au bon souvenir,
Parmi ceux qui ont dû partir !
Pour toi grand-père qui est parti,
Toi qui manque à ma vie.
En ce mois de juillet, mon âme se meurt de froid,
Ton absence m’effraie,
Le mot papy, tu le portais à merveille,
Un pur diamant brillant comme une étincelle.
Ma bouche est devenue muette sans ce mot,
Mon cœur saigne pour évacuer ces maux.
Je t’écris ce texte à l’encre de mes veines,
Mes cris, mes paroles restent vaines.
Tu n’avais pas le droit de me quitter,
J’avais besoin de toi pour m’acquitter.
Tu étais unique pour moi,
Grand-père, tu restes gravé en moi.
La maladie, t’a forcé à m’abandonner,
Si tu savais à quel point je t’ai aimé.
Ma vie a opté pour un immense désert,
Un grand homme aujourd’hui je perds.
Ton départ pour moi est si grave,
Que je reste là comme une épave.
Si j’avais su que tu comptais t’en aller,
À toi je me serais agripper.
Tout seul tu as quitté cette terre,
Plongeant min cœur dans l’enfer.
Le mot pépé, (papy) a cessé de raisonner,
Hélas ! Tu as cessé d’exister.
Ton absence rien ne saura le combler,
Ta présence à jamais va me manquer.
Il s’en est allé à sa dernière demeure,
Vraiment la vie est éphémère.
Sur cette terre,
Nous sommes tous des locataires.
La fin nous prendra ici ou ailleurs,
Le chemin parcouru est la lueur,
Qui éclaire la route de dernière,
Et se reflète dans nos hiers.
...
Je vous souhaite un bonjour
Et bon jour !
Parmi ceux qui ont dû partir !
Pour toi grand-père qui est parti,
Toi qui manque à ma vie.

En ce mois de juillet, mon âme se meurt de froid,
Ton absence m’effraie,
Le mot papy, tu le portais à merveille,
Un pur diamant brillant comme une étincelle.
Ma bouche est devenue muette sans ce mot,
Mon cœur saigne pour évacuer ces maux.
Je t’écris ce texte à l’encre de mes veines,
Mes cris, mes paroles restent vaines.
Tu n’avais pas le droit de me quitter,
J’avais besoin de toi pour m’acquitter.
Tu étais unique pour moi,
Grand-père, tu restes gravé en moi.
La maladie, t’a forcé à m’abandonner,
Si tu savais à quel point je t’ai aimé.
Ma vie a opté pour un immense désert,
Un grand homme aujourd’hui je perds.
Ton départ pour moi est si grave,
Que je reste là comme une épave.
Si j’avais su que tu comptais t’en aller,
À toi je me serais agripper.
Tout seul tu as quitté cette terre,
Plongeant min cœur dans l’enfer.
Le mot pépé, (papy) a cessé de raisonner,
Hélas ! Tu as cessé d’exister.
Ton absence rien ne saura le combler,
Ta présence à jamais va me manquer.

Il s’en est allé à sa dernière demeure,
Vraiment la vie est éphémère.
Sur cette terre,
Nous sommes tous des locataires.
La fin nous prendra ici ou ailleurs,
Le chemin parcouru est la lueur,
Qui éclaire la route de dernière,
Et se reflète dans nos hiers.
...
Je vous souhaite un bonjour
Et bon jour !