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J’ai marché sur les ruines de nos silences,
Chaque pas brûlait les cendres d’hier.
J’ai crié ton nom dans l’absence,
Mais l’écho s’efface dans l’éther.
Tu dis qu’une part de toi se brise,
Moi, c’est tout mon être qui se fane.
Tu reviens sans lumière, sans prise,
Un vent glacé, une porte en panne.
J’ai tendu la main, tu l’as lâchée,
Puis tu demandes où sont mes torts…
Dis-moi, comment aimer sans tomber ?
Comment réparer un cœur mort ?
Il y a ce gouffre entre nos âmes,
Un mur dressé par l’orgueil amer,
Et si je reviens, ce n’est que flammes,
Un incendie dans un désert.
Alors je me tais, je ferme l’histoire,
Je ne serai pas l’ombre qui s’attarde.
Et s’il faut souffrir pour y croire,
Moi, je choisis d’être ma garde.
Chaque pas brûlait les cendres d’hier.
J’ai crié ton nom dans l’absence,
Mais l’écho s’efface dans l’éther.
Tu dis qu’une part de toi se brise,
Moi, c’est tout mon être qui se fane.
Tu reviens sans lumière, sans prise,
Un vent glacé, une porte en panne.
J’ai tendu la main, tu l’as lâchée,
Puis tu demandes où sont mes torts…
Dis-moi, comment aimer sans tomber ?
Comment réparer un cœur mort ?
Il y a ce gouffre entre nos âmes,
Un mur dressé par l’orgueil amer,
Et si je reviens, ce n’est que flammes,
Un incendie dans un désert.
Alors je me tais, je ferme l’histoire,
Je ne serai pas l’ombre qui s’attarde.
Et s’il faut souffrir pour y croire,
Moi, je choisis d’être ma garde.
