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Poème Acrostisonnetballade

Peniculo

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#1
Acrostisonnetballade

Bercée par la chaleur la rendant inactive

Aline somnolait et moi je m’ennuyais
La rivière n’est pas loin et si fraiche est sa rive
Allons-y en balade, Aline, s’il vous plait
Descendons vers cette eau dont l’allure est si vive

En suivant le courant nous trouverons le frais.


Tenez-moi bien le bras la pente me fait peur

Et pourrait nous mener à la sotte imprudence
Laissez-moi vous guider et sans outrecuidance
Je vous prendrai la taille avec grande douceur


Je me rapprocherai sans nuire à la pudeur
Mais nos têtes ensembles, hasard ou impudence,
Feront se rencontrer, quelle coïncidence,
Nos bouches recherchant le début d’un bonheur.


Et le cours des envies échauffant la nature
Mes caresses feront une telle parure
Qu’il nous viendra au corps une tendre chaleur


Une anse de rivière offrant une baignade
À l’abri des regards sans crainte de voyeur

Nous achèverons nus l’aquatique balade

Lorsque vous fûtes nue au bord de l’eau
J’arrivais lentement à vos côtés
Je n’avais jamais vu un corps si beau.
Qui me montrait sans peur ses nudités.
Découvrant vos charmants fruits enchantés.
Et sensible à l’attrait je laissai voir
Quel était mon désir et mon espoir.
Je vous parus ainsi fort désirable
Et nos envies ne pouvant décevoir
De vous aimer dans l’eau je fus coupable.


Mes mains immergées eurent en cadeau,
Des bijoux dévoilant leurs bouts pointés
Et sous votre secret le doux joyau
Qui de mes doigts gourmands fut caressé.
Du nautique plaisir très étonné
Votre corps eut tendance à s’émouvoir
Et vous me fîtes part d’un bon vouloir,
D’une curiosité appréciable,
En donnant votre oiseau à mon perchoir.
De vous aimer dans l’eau je fus coupable.


L’eau nous vit corps à corps et peau à peau
Dans l’onde deux amants dissimulés
Cherchent du lent plaisir ce feu nouveau
Que nous avions tous deux tant désiré
M’accordant à votre féminité,
Le plaisir culminant comment surseoir,
Sirène désirable, à vos pouvoirs
Et l’assouvissement fort délectable
Vous plut tant qu’il dut être répété
De vous aimer dans l’eau je fus coupable.


Princesse qui dans l’onde aux reflets noirs
Sut cacher les étreintes un certain soir
Reviendrez-vous dans l’eau, être adorable,
Je ne puis l’avouer sans m’émouvoir
De vous aimer dans l’eau je fus coupable.




 
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#2
Acrostisonnetballade

Bercée par la chaleur la rendant inactive

Aline somnolait et moi je m’ennuyais
La rivière n’est pas loin et si fraiche est sa rive
Allons-y en balade, Aline, s’il vous plait
Descendons vers cette eau dont l’allure est si vive

En suivant le courant nous trouverons le frais.


Tenez-moi bien le bras la pente me fait peur

Et pourrait nous mener à la sotte imprudence
Laissez-moi vous guider et sans outrecuidance
Je vous prendrai la taille avec grande douceur


Je me rapprocherai sans nuire à la pudeur
Mais nos têtes ensembles, hasard ou impudence,
Feront se rencontrer, quelle coïncidence,
Nos bouches recherchant le début d’un bonheur.


Et le cours des envies échauffant la nature
Mes caresses feront une telle parure
Qu’il nous viendra au corps une tendre chaleur


Une anse de rivière offrant une baignade
À l’abri des regards sans crainte de voyeur

Nous achèverons nus l’aquatique balade

Lorsque vous fûtes nue au bord de l’eau
J’arrivais lentement à vos côtés
Je n’avais jamais vu un corps si beau.
Qui me montrait sans peur ses nudités.
Découvrant vos charmants fruits enchantés.
Et sensible à l’attrait je laissai voir
Quel était mon désir et mon espoir.
Je vous parus ainsi fort désirable
Et nos envies ne pouvant décevoir
De vous aimer dans l’eau je fus coupable.


Mes mains immergées eurent en cadeau,
Des bijoux dévoilant leurs bouts pointés
Et sous votre secret le doux joyau
Qui de mes doigts gourmands fut caressé.
Du nautique plaisir très étonné
Votre corps eut tendance à s’émouvoir
Et vous me fîtes part d’un bon vouloir,
D’une curiosité appréciable,
En donnant votre oiseau à mon perchoir.
De vous aimer dans l’eau je fus coupable.


L’eau nous vit corps à corps et peau à peau
Dans l’onde deux amants dissimulés
Cherchent du lent plaisir ce feu nouveau
Que nous avions tous deux tant désiré
M’accordant à votre féminité,
Le plaisir culminant comment surseoir,
Sirène désirable, à vos pouvoirs
Et l’assouvissement fort délectable
Vous plut tant qu’il dut être répété
De vous aimer dans l’eau je fus coupable.


Princesse qui dans l’onde aux reflets noirs
Sut cacher les étreintes un certain soir
Reviendrez-vous dans l’eau, être adorable,
Je ne puis l’avouer sans m’émouvoir
De vous aimer dans l’eau je fus coupable.






Bravo et félicitations Peniculo
Bon samedi
 

chessmec

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#4
Votre sonnet est un délice à lui seul ! J'admire la dextérité de votre plume ! Bon dimanche, Peniculo !
 
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