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Admirable complexité des dames
La femme est une fleur
Si elle est réjouie elle est plaisante fête,
Quand elle vous prend le cœur vous en perdez la tête
Et l’amour vous fait peur.
Elle est aussi un fruit
Promettant sa saveur aux faims de joies profondes,
Son charme est une flamme et sa beauté une onde
Qui sans cesse séduit.
Elle est féminité
Ouvrant les voies du ciel à nos yeux éblouis
Promettant les bonheurs aux sens épanouis
Par sensualité.
Elle se fait chasteté
Quand insensible aux feux de trop virils désirs
Et laisse s’épuiser d’inutiles soupirs
L’amant sans qualité.
La femme est la beauté
Le modèle des arts, la muse de l’artiste,
L’accord mystérieux du monde symphoniste
L’absolue déité.
La femme est origine,
Du doux vagissement du nourrisson qui naît
Au premier cri poussé quand le plaisir parait
Son soleil illumine.
Elle est aussi la peur
Quand c’est en combattant qu’elle s’oppose au malheur
Quand torturée violée son corps n’est que terreur
Et sa vie sans honneur.
Parfois elle est esclave
Opprimée, exploitée, vendue par la contrainte
Ses yeux ne sont que pleurs et sa voix n’est que plainte
Sa vie devient épave.
Mais la femme est colère
Combattant l’injustice elle crie, persuade
Et pour changer ce monde à la bonté malade
Parfois elle légifère.
La femme est héroïne
Elle prend le fusil, quittera les aiguilles
Et s’en ira risquer, qu’un jour on la fusille,
Pour poser une mine.
Elle est toute bonté
Quand aux chevets soignant des hommes la souffrance
Elle met tout son poids d’amour dans la balance
Pour offrir la santé.
La femme est une épice
Sans elle que de fadeur, la vie n’est que laideur,
On adore son corps, on admire son cœur,
D’ardente incitatrice.
Elle est la joie de vivre
Son sourire illumine et sa danse ensorcelle
Son chant est une source et sa voix sensuelle
La magie qui enivre.
La femme est indulgence
Permettant au poète d’être un peu maladroit
Elle laisse exprimer gauchement son émoi
Sans un trop d’éloquence.
Elle est tous les bonheurs
Remercions le sort qui mit sur notre route
La fée aux mille joies qui sourit et envoûte
En capturant nos cœurs.
La femme est une fleur
Si elle est réjouie elle est plaisante fête,
Quand elle vous prend le cœur vous en perdez la tête
Et l’amour vous fait peur.
Elle est aussi un fruit
Promettant sa saveur aux faims de joies profondes,
Son charme est une flamme et sa beauté une onde
Qui sans cesse séduit.
Elle est féminité
Ouvrant les voies du ciel à nos yeux éblouis
Promettant les bonheurs aux sens épanouis
Par sensualité.
Elle se fait chasteté
Quand insensible aux feux de trop virils désirs
Et laisse s’épuiser d’inutiles soupirs
L’amant sans qualité.
La femme est la beauté
Le modèle des arts, la muse de l’artiste,
L’accord mystérieux du monde symphoniste
L’absolue déité.
La femme est origine,
Du doux vagissement du nourrisson qui naît
Au premier cri poussé quand le plaisir parait
Son soleil illumine.
Elle est aussi la peur
Quand c’est en combattant qu’elle s’oppose au malheur
Quand torturée violée son corps n’est que terreur
Et sa vie sans honneur.
Parfois elle est esclave
Opprimée, exploitée, vendue par la contrainte
Ses yeux ne sont que pleurs et sa voix n’est que plainte
Sa vie devient épave.
Mais la femme est colère
Combattant l’injustice elle crie, persuade
Et pour changer ce monde à la bonté malade
Parfois elle légifère.
La femme est héroïne
Elle prend le fusil, quittera les aiguilles
Et s’en ira risquer, qu’un jour on la fusille,
Pour poser une mine.
Elle est toute bonté
Quand aux chevets soignant des hommes la souffrance
Elle met tout son poids d’amour dans la balance
Pour offrir la santé.
La femme est une épice
Sans elle que de fadeur, la vie n’est que laideur,
On adore son corps, on admire son cœur,
D’ardente incitatrice.
Elle est la joie de vivre
Son sourire illumine et sa danse ensorcelle
Son chant est une source et sa voix sensuelle
La magie qui enivre.
La femme est indulgence
Permettant au poète d’être un peu maladroit
Elle laisse exprimer gauchement son émoi
Sans un trop d’éloquence.
Elle est tous les bonheurs
Remercions le sort qui mit sur notre route
La fée aux mille joies qui sourit et envoûte
En capturant nos cœurs.
