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Air Andalou (Zajel à prélude et refrain )
O si Grand Ibn Quzman prête-moi ton vieux Luth
Les chansons de l'amour fleurissent en tendre Ut
De l’Alhambra descend la si belle princesse
Pour le rêveur amant elle défait sa tresse
Son cœur vibrant d’Éros lui module une laisse
Contant le vif élan d'un querelleur ramier
Luttant pour sa colombe en un preux chevalier
Le frais généralife où l'onde pleure sans cesse
Des naseaux des lions reniflant en paresse
Que le charme des ris guérit un jour puis blesse !
ô cœur saignant d'amour entre flèche et cimier
Comme toi le tarin geint la fleur de laurier
La gent quittait mosquée où prêchait en la messe
Sur la rive chantait la houri arabesse
Ses roses doigts frôlaient la branche qui s'abaisse
Laissant pleuvoir les fleurs du divin amandier
Couvant grive et petits ,craignant œil d'épervier
Luthoriental Le 11/09/2021
O si Grand Ibn Quzman prête-moi ton vieux Luth
Les chansons de l'amour fleurissent en tendre Ut
De l’Alhambra descend la si belle princesse
Pour le rêveur amant elle défait sa tresse
Son cœur vibrant d’Éros lui module une laisse
Contant le vif élan d'un querelleur ramier
Luttant pour sa colombe en un preux chevalier
Le frais généralife où l'onde pleure sans cesse
Des naseaux des lions reniflant en paresse
Que le charme des ris guérit un jour puis blesse !
ô cœur saignant d'amour entre flèche et cimier
Comme toi le tarin geint la fleur de laurier
La gent quittait mosquée où prêchait en la messe
Sur la rive chantait la houri arabesse
Ses roses doigts frôlaient la branche qui s'abaisse
Laissant pleuvoir les fleurs du divin amandier
Couvant grive et petits ,craignant œil d'épervier
Luthoriental Le 11/09/2021
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