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C'est deux mains qui se joignent au soir sous l'édredon
C'est ne jamais avoir à demander pardon
C'est ces énervements fondant sous les sourires
Ces disputes insensées qui s'achèvent en soupirs
C'est la crucifixion du moindre déplaisir
Une goutte à ta joue et je me sens mourir
C'est cette boule au ventre quand je te vois en peine
Ta tristesse est pour moi puissant lacrymogène
Et c'est dans la maison des petits bouts de toi
Des objets habités que le bonheur tutoie
Ces brosses à dent jumelles dans la salle de bain
Ton foutoir et dans l'air ton délicieux parfum
La tête sur ton sein c'est sentir ton coeur battre
C'est une main cuivrée sur une joue d'albâtre
La constante présence de ce corps adoré
Et ces bras qui me disent combien je suis aimée
C'est des poèmes en braille dans le creux de ton dos
Entourées des amis devant un bon bordeaux
Quand sans y réfléchir la main veut te toucher
Donner corps à la foi de nos âmes liées
C'est des conversations l'espace d'un regard
Des fous rires jumeaux montant sans crier gare
C'est comprendre sans mots aimer sans retenue
Plonger dedans tes yeux me sentir éperdue
C'est ne rien te cacher comme un grimoire ouvert
Malgré tout conserver une part de mystère
Assez pour te séduire, pour encore te plaire
Toujours dans tes yeux voir briller un éclair
C'est la confiance aussi totale et absolue
Qui fait chuter le masque à coté du tissu
C'est trouver à tes failles un charme désarmant
Un regard attendri drapé de sentiments
Amour c'est au matin à peine réveillée
Fouiller dans le placard des fringues éparpillées
Découvrir plus tard un peu émoustillée
Que c'est de tes dentelles que je suis habillée
Au Yoga quand je lance un regard coquin
Admirant ta plastique digne d'un mannequin
Qu'un frisson me parcoure quand je vois dans tes yeux
Que ton esprit pour moi brule d'un pareil feu
C'est le rythme endiablé autant qu'improvisé
D'une gigue qui prends nos corps exaltés
Quand je te trouve folle et ne veux que tu cesses
Que résonne la joie et m'entraine la liesse
Amour n'est pas blâme, ni baise ni porno
Amour c'est ma femme et je dis sans mélo
Qu'il suffit de trois lettres pour en faire le tour
Et que dans ce prénom j'ai trouvé mon amour
C'est ne jamais avoir à demander pardon
C'est ces énervements fondant sous les sourires
Ces disputes insensées qui s'achèvent en soupirs
C'est la crucifixion du moindre déplaisir
Une goutte à ta joue et je me sens mourir
C'est cette boule au ventre quand je te vois en peine
Ta tristesse est pour moi puissant lacrymogène
Et c'est dans la maison des petits bouts de toi
Des objets habités que le bonheur tutoie
Ces brosses à dent jumelles dans la salle de bain
Ton foutoir et dans l'air ton délicieux parfum
La tête sur ton sein c'est sentir ton coeur battre
C'est une main cuivrée sur une joue d'albâtre
La constante présence de ce corps adoré
Et ces bras qui me disent combien je suis aimée
C'est des poèmes en braille dans le creux de ton dos
Entourées des amis devant un bon bordeaux
Quand sans y réfléchir la main veut te toucher
Donner corps à la foi de nos âmes liées
C'est des conversations l'espace d'un regard
Des fous rires jumeaux montant sans crier gare
C'est comprendre sans mots aimer sans retenue
Plonger dedans tes yeux me sentir éperdue
C'est ne rien te cacher comme un grimoire ouvert
Malgré tout conserver une part de mystère
Assez pour te séduire, pour encore te plaire
Toujours dans tes yeux voir briller un éclair
C'est la confiance aussi totale et absolue
Qui fait chuter le masque à coté du tissu
C'est trouver à tes failles un charme désarmant
Un regard attendri drapé de sentiments
Amour c'est au matin à peine réveillée
Fouiller dans le placard des fringues éparpillées
Découvrir plus tard un peu émoustillée
Que c'est de tes dentelles que je suis habillée
Au Yoga quand je lance un regard coquin
Admirant ta plastique digne d'un mannequin
Qu'un frisson me parcoure quand je vois dans tes yeux
Que ton esprit pour moi brule d'un pareil feu
C'est le rythme endiablé autant qu'improvisé
D'une gigue qui prends nos corps exaltés
Quand je te trouve folle et ne veux que tu cesses
Que résonne la joie et m'entraine la liesse
Amour n'est pas blâme, ni baise ni porno
Amour c'est ma femme et je dis sans mélo
Qu'il suffit de trois lettres pour en faire le tour
Et que dans ce prénom j'ai trouvé mon amour