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Assez de contes mentant à la jeunesse !
Un loup ayant assez de bouffer les grands mères
Et quelques chaperons (blanchâtres en vérité
Car le rouge allégué n’est qu’une absurdité)
Sur la Costa Del Sol s’en alla voir la mer.
Tenté par le bronzage d’autochtones espagnoles
Il désira savoir si le steak andalous
Avait du chaperon le fumet et le goût
Et l’appétit soudain lui revient et l’affole.
Une brune andalouse aux cheveux noirs bien sur
Lui parut favorable à un doux casse-croûte
En rentrant de la plage il se mit sur sa route
Et lui fit compliment de sa jolie nature.
Mais les loups espagnols inspirant la méfiance
La belle réagit tauromachiquement
Et sortant son tricot planta insolemment
Ses aiguilles dans le loup coupable d’imprudence.
Le loup au pharmacien fit panser ses blessures
Puis se dit il me faut un rouge chaperon
Un vrai dont la couleur a du soleil le ton
Et qui par sa rondeur incite à l’aventure.
Une dame bronzait en dormant sur plage
Se trouvant par malheur rouge à n’en plus pouvoir
Excita tant le loup qui se mit un bavoir
Pour dévorer la belle d’une façon sauvage.
La dame qui était là pour passer ses vacances
Qui par chance se trouvait cousine de Dracula
Mordit le loup si fort que vite il détala
Et prit le lendemain un avion pour la France.
En se disant je vais retrouver le passé
Des galettes grand-mère et des gras chaperons
J’en ferai des gigots j’en ferais des lardons
L’Espagne est un pays où je suis angoissé.
Hélas les grands mères les chaperons aussi
Avaient évolué et changé de méthode
La terreur des loups n’étant plus à la mode
Elles savaient se défendre sans le moindre souci.
Le loup en hypocrite tenta de les séduire
Mais les dame unies en rien ne lui cédèrent
Ayant fait du judo ses reins elles brisèrent
Et le mirent à la broche afin de le bien cuire.
Suivant la botanique et aimant la nature
Elles l’accommodèrent de diverses façons
Un dico de cuisine leur donnant des leçons
Par une ombellifère le loup eut sa parure.
L’essai fut concluant et le plat délectable
Le loup devint plaisir de différents gourmets
Et depuis ce jour là les amateurs de mets
Mettent un loup au fenouil le dimanche sur table
Les chaperons marins n'étant pas piscivores
Ayant goutté le loup cuisiné par mère grand
Aux nouvelles cuisines osèrent être adhérents
Se gavèrent de loups bien qu’étant herbivores.
Donc méfiez vous lecteurs des contes imprécis
Les chaperons les loups ne sont que fariboles
Je sais que les enfants quelques fois en raffole
Mais ne les troublez pas de fallacieux récits.
Post-scriptum :
En d’autres pays froids quand du loup on se toque
On peu accommoder à la broche un loup-phoque
Et chez les poissonniers on prépare avec art
Un plat mixte connu se nommant le loup-bar.
Ces plats étant permis même aux ecclésiastiques
Quelques vendredis maigres étant gastronomiques
Ils préparent un régal qui avec joie se mange
Et qui évidemment est appelé loup-ange.
Un loup ayant assez de bouffer les grands mères
Et quelques chaperons (blanchâtres en vérité
Car le rouge allégué n’est qu’une absurdité)
Sur la Costa Del Sol s’en alla voir la mer.
Tenté par le bronzage d’autochtones espagnoles
Il désira savoir si le steak andalous
Avait du chaperon le fumet et le goût
Et l’appétit soudain lui revient et l’affole.
Une brune andalouse aux cheveux noirs bien sur
Lui parut favorable à un doux casse-croûte
En rentrant de la plage il se mit sur sa route
Et lui fit compliment de sa jolie nature.
Mais les loups espagnols inspirant la méfiance
La belle réagit tauromachiquement
Et sortant son tricot planta insolemment
Ses aiguilles dans le loup coupable d’imprudence.
Le loup au pharmacien fit panser ses blessures
Puis se dit il me faut un rouge chaperon
Un vrai dont la couleur a du soleil le ton
Et qui par sa rondeur incite à l’aventure.
Une dame bronzait en dormant sur plage
Se trouvant par malheur rouge à n’en plus pouvoir
Excita tant le loup qui se mit un bavoir
Pour dévorer la belle d’une façon sauvage.
La dame qui était là pour passer ses vacances
Qui par chance se trouvait cousine de Dracula
Mordit le loup si fort que vite il détala
Et prit le lendemain un avion pour la France.
En se disant je vais retrouver le passé
Des galettes grand-mère et des gras chaperons
J’en ferai des gigots j’en ferais des lardons
L’Espagne est un pays où je suis angoissé.
Hélas les grands mères les chaperons aussi
Avaient évolué et changé de méthode
La terreur des loups n’étant plus à la mode
Elles savaient se défendre sans le moindre souci.
Le loup en hypocrite tenta de les séduire
Mais les dame unies en rien ne lui cédèrent
Ayant fait du judo ses reins elles brisèrent
Et le mirent à la broche afin de le bien cuire.
Suivant la botanique et aimant la nature
Elles l’accommodèrent de diverses façons
Un dico de cuisine leur donnant des leçons
Par une ombellifère le loup eut sa parure.
L’essai fut concluant et le plat délectable
Le loup devint plaisir de différents gourmets
Et depuis ce jour là les amateurs de mets
Mettent un loup au fenouil le dimanche sur table
Les chaperons marins n'étant pas piscivores
Ayant goutté le loup cuisiné par mère grand
Aux nouvelles cuisines osèrent être adhérents
Se gavèrent de loups bien qu’étant herbivores.
Donc méfiez vous lecteurs des contes imprécis
Les chaperons les loups ne sont que fariboles
Je sais que les enfants quelques fois en raffole
Mais ne les troublez pas de fallacieux récits.
Post-scriptum :
En d’autres pays froids quand du loup on se toque
On peu accommoder à la broche un loup-phoque
Et chez les poissonniers on prépare avec art
Un plat mixte connu se nommant le loup-bar.
Ces plats étant permis même aux ecclésiastiques
Quelques vendredis maigres étant gastronomiques
Ils préparent un régal qui avec joie se mange
Et qui évidemment est appelé loup-ange.