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Aux muses somnolentes soucieuses de sonnet sonore !
Les oiseaux étonnés par l'infinie douceur
D’une muse n'étant pas encore éveillée
Se dirent laissons la encore ensommeillée
Prolongeons d’un instant son nocturne bonheur
Tournons le temps qu’il fait vers la douce chaleur
Puisque la muse au lit se trouve dépouillée
Attendons que la douche du matin l'ait mouillée
Pour lui dire en chantant que de rimer c'est l'heure.
Lors petit déjeunant au rythme matinal
La muse reposée au talent sans égal
Prémédite des vers aux chutes harmoniques
Le poète en lisant ses délicats travaux
Enchante de ses mots ses heures mélancoliques
Sur un rêve océan son cœur devient vaisseau.
Les oiseaux étonnés par l'infinie douceur
D’une muse n'étant pas encore éveillée
Se dirent laissons la encore ensommeillée
Prolongeons d’un instant son nocturne bonheur
Tournons le temps qu’il fait vers la douce chaleur
Puisque la muse au lit se trouve dépouillée
Attendons que la douche du matin l'ait mouillée
Pour lui dire en chantant que de rimer c'est l'heure.
Lors petit déjeunant au rythme matinal
La muse reposée au talent sans égal
Prémédite des vers aux chutes harmoniques
Le poète en lisant ses délicats travaux
Enchante de ses mots ses heures mélancoliques
Sur un rêve océan son cœur devient vaisseau.
