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Ballade des loquedus élus jamais pendus
Frères humains qui en ces temps votez
De quelque erreur ayez le grand souci
Car les besoins que votant vous avez
Politique jamais n’en tirera partie.
De Dieu hélas vous n’aurez de merci,
Car tout élu pour lui jamais ne prie
Les urnes sont les maux de la patrie
Que d’excès mensongers diable nourrit
Et la démocratie qui se pourrit ,
En nous jetant aux yeux de la poudre
Est un danger croissant qui nous détruit
Dont nul n’aurait envie de nous absoudre !
Frères d’urne en votant vous ne devez
Oser un choix banal voire imprécis
Car souvent le hasard vous le savez
Trompe les hésitants les indécis.
Lors le vil politique souvent ourdit
Sa toile d’araignée où il a pris
Le peuple qui souvent croit ce qu’il dit
La vérité n’étant pas son souci
Puis une fois élu il se tarit
Nous exposant aux maux et à la foudre
D’une incapacité qui ne varie
Dont nul n’aurait envie de nous absoudre !
Le citoyen hélas bien entravé
De bonne gouvernance est en souci
Voyant son quotidien fort aggravé
Voudrait en politique utile appui.
Mais les élus prenant de mauvais plis
Font l’avenir douteux voire noirci ;
Leurs discours promettant un paradis
Usent de mots hélas qui ne varient
L’homme dit-politique fait des paris
Il ment et il ne peut jamais tout moudre
Fuyez tant que se peut ses âneries
Dont nul n’aurait envie de nous absoudre !
Seigneur épargnez nous excès de tromperie
Des politiques osons la moquerie
Un état sain ne doit pas se résoudre
À accepter de sots les tromperies
Dont nul n’aurait envie de nous absoudre !
Frères humains qui en ces temps votez
De quelque erreur ayez le grand souci
Car les besoins que votant vous avez
Politique jamais n’en tirera partie.
De Dieu hélas vous n’aurez de merci,
Car tout élu pour lui jamais ne prie
Les urnes sont les maux de la patrie
Que d’excès mensongers diable nourrit
Et la démocratie qui se pourrit ,
En nous jetant aux yeux de la poudre
Est un danger croissant qui nous détruit
Dont nul n’aurait envie de nous absoudre !
Frères d’urne en votant vous ne devez
Oser un choix banal voire imprécis
Car souvent le hasard vous le savez
Trompe les hésitants les indécis.
Lors le vil politique souvent ourdit
Sa toile d’araignée où il a pris
Le peuple qui souvent croit ce qu’il dit
La vérité n’étant pas son souci
Puis une fois élu il se tarit
Nous exposant aux maux et à la foudre
D’une incapacité qui ne varie
Dont nul n’aurait envie de nous absoudre !
Le citoyen hélas bien entravé
De bonne gouvernance est en souci
Voyant son quotidien fort aggravé
Voudrait en politique utile appui.
Mais les élus prenant de mauvais plis
Font l’avenir douteux voire noirci ;
Leurs discours promettant un paradis
Usent de mots hélas qui ne varient
L’homme dit-politique fait des paris
Il ment et il ne peut jamais tout moudre
Fuyez tant que se peut ses âneries
Dont nul n’aurait envie de nous absoudre !
Seigneur épargnez nous excès de tromperie
Des politiques osons la moquerie
Un état sain ne doit pas se résoudre
À accepter de sots les tromperies
Dont nul n’aurait envie de nous absoudre !
