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Ballade du confiné que l’on balade
Puisqu’au présent il n’est qu’ un malheur ajouté
Covid voulut savoir si l’humaine nature
Se laisserait punir par la calamité
Subissant sans broncher virale dictature.
La politique engeance occupant le sujet
Sur les dos scientifiques prétextant des projets
Quelques savants s’en vinrent verser de la salive
Pour cautionner les riens de ministres hâbleurs
Le lac de l’ignorance hélas n’a point de rives
Nul ne veut du pouvoir quand s’en vient un malheur
Fallait-il se masquer pour filtrer l’entêtée
Qui voulait imposer sa triste forfaiture
Encore eut il fallu que des stocks achetés
En nombre convenable jouent un rôle d’ armure
Le politique hélas craignant quelque rejet
Fit en improvisant un excès de projets
Il dit au populaire si notre état dérive
C’est une nécessité qui me fait mal au cœur
Mais je n'assume pas ce dont le sort vous prive.
Nul ne veut du pouvoir quand s’en vient un malheur
En telles circonstances la haute autorité
Ne montrant plus son nez par crainte de froidure
Se permet d’éviter avec ténacité
Les vents de vérité qui plieraient sa mature
En voyant les ministres redouter le rejet
On peut se demander pourquoi tant de trajets
Pourquoi de liberté il faudrait que se prive
Le peuple déjà las de propos larmoyeurs
Subissant des contraintes variées, abusives
Nul ne veut du pouvoir quand s’en vient un malheur
O vous , qui subissez sans cesse ces dérives
D’urnes infructueuses sachez trouver l’esquive
Trouvez tous les actifs montrant de la vigueur
Cherchez un avenir sans sottes récidives
Nul ne veut du pouvoir quand s’en vient un malheur.
Puisqu’au présent il n’est qu’ un malheur ajouté
Covid voulut savoir si l’humaine nature
Se laisserait punir par la calamité
Subissant sans broncher virale dictature.
La politique engeance occupant le sujet
Sur les dos scientifiques prétextant des projets
Quelques savants s’en vinrent verser de la salive
Pour cautionner les riens de ministres hâbleurs
Le lac de l’ignorance hélas n’a point de rives
Nul ne veut du pouvoir quand s’en vient un malheur
Fallait-il se masquer pour filtrer l’entêtée
Qui voulait imposer sa triste forfaiture
Encore eut il fallu que des stocks achetés
En nombre convenable jouent un rôle d’ armure
Le politique hélas craignant quelque rejet
Fit en improvisant un excès de projets
Il dit au populaire si notre état dérive
C’est une nécessité qui me fait mal au cœur
Mais je n'assume pas ce dont le sort vous prive.
Nul ne veut du pouvoir quand s’en vient un malheur
En telles circonstances la haute autorité
Ne montrant plus son nez par crainte de froidure
Se permet d’éviter avec ténacité
Les vents de vérité qui plieraient sa mature
En voyant les ministres redouter le rejet
On peut se demander pourquoi tant de trajets
Pourquoi de liberté il faudrait que se prive
Le peuple déjà las de propos larmoyeurs
Subissant des contraintes variées, abusives
Nul ne veut du pouvoir quand s’en vient un malheur
O vous , qui subissez sans cesse ces dérives
D’urnes infructueuses sachez trouver l’esquive
Trouvez tous les actifs montrant de la vigueur
Cherchez un avenir sans sottes récidives
Nul ne veut du pouvoir quand s’en vient un malheur.