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Ballade initiatique et pluvieuse !
Cette année en juillet il pleuvait quel dommage
Et Éole qui jadis soufflait modérément
Faisait parfois craquer la cabine de plage
D’où je voyais la mer en lisant des romans.
Vous étiez chère Léa l’’unique voisinage
Attirant mes regards déjà concupiscents
Malgré le ciel grisé par l’excès de nuages
Vous portiez sans pudeur un dessus transparent
Instruit de théories sur les galants usages
J’espérai découvrir le bonheur d’une idylle
J’avais envie d’aimer mais le batifolage
N’est jamais de l’ amour si seul le corps jubile.
Vous aviez deviné mon regret d’être sage
Ma rougeur l’indiquait assez discrètement
Mon émotion se vit dévoilant un orage
Que ma tenue d’été cachait modérément
Sans doute solitaire osant le bavardage
Vous parlâtes du temps assez banalement
D’un court baiser volé j’eus soudain le courage
Vous le fîtes durer pour mon ravissement
Vous ne pouviez savoir qu’ayant mon pucelage
Je pouvais me montrer quelque peu malhabile
Et vous me dévoilâtes que l’intime partage
N’est jamais de l’amour si seul le corps jubile
Le vent soufflant toujours sur la côte sauvage
La cabine devint un lieu d’enseignement
J’appris de votre corps les sensuels usages
Et les lascivités de vos enchantements
J’aimais à la folie cet amoureux tangage
Enchantant les désirs de nos déferlements
Vous m’apprîtes à dompter l’écoulement du temps
Pour obtenir qu’ensemble s’achève le voyage.
Il vous fallut partir loin de ce doux rivage
J’éprouvai un chagrin toujours indélébile
Vous partîtes en disant l’érotique courage
N’est jamais de l’ amour si seul le corps jubile
Envoi
Dame dont la douceur sut me rendre volage
Qui m’avez enseigné les pratiques tactiles
J’attends la passion car du cœur le ravage
N’est jamais de l’ amour si seul le corps jubile
Cette année en juillet il pleuvait quel dommage
Et Éole qui jadis soufflait modérément
Faisait parfois craquer la cabine de plage
D’où je voyais la mer en lisant des romans.
Vous étiez chère Léa l’’unique voisinage
Attirant mes regards déjà concupiscents
Malgré le ciel grisé par l’excès de nuages
Vous portiez sans pudeur un dessus transparent
Instruit de théories sur les galants usages
J’espérai découvrir le bonheur d’une idylle
J’avais envie d’aimer mais le batifolage
N’est jamais de l’ amour si seul le corps jubile.
Vous aviez deviné mon regret d’être sage
Ma rougeur l’indiquait assez discrètement
Mon émotion se vit dévoilant un orage
Que ma tenue d’été cachait modérément
Sans doute solitaire osant le bavardage
Vous parlâtes du temps assez banalement
D’un court baiser volé j’eus soudain le courage
Vous le fîtes durer pour mon ravissement
Vous ne pouviez savoir qu’ayant mon pucelage
Je pouvais me montrer quelque peu malhabile
Et vous me dévoilâtes que l’intime partage
N’est jamais de l’amour si seul le corps jubile
Le vent soufflant toujours sur la côte sauvage
La cabine devint un lieu d’enseignement
J’appris de votre corps les sensuels usages
Et les lascivités de vos enchantements
J’aimais à la folie cet amoureux tangage
Enchantant les désirs de nos déferlements
Vous m’apprîtes à dompter l’écoulement du temps
Pour obtenir qu’ensemble s’achève le voyage.
Il vous fallut partir loin de ce doux rivage
J’éprouvai un chagrin toujours indélébile
Vous partîtes en disant l’érotique courage
N’est jamais de l’ amour si seul le corps jubile
Envoi
Dame dont la douceur sut me rendre volage
Qui m’avez enseigné les pratiques tactiles
J’attends la passion car du cœur le ravage
N’est jamais de l’ amour si seul le corps jubile