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Tu me chantais en ce refrain le temps qui passe
je t'aimais assidu toi ma belle ambiguë
et pourtant si fière en vérité toute nue
je pourchassais un rêve que la nuit trépasse.
Je te pensais réveil tu étais là comtoise
tu appelais l'éveil je te nommais framboise.
Je t'aimais assidu toi ma belle ambiguë
mon amour androgyne d'un temps qui s'efface
je pourchassais un rêve que la nuit trépasse
femme masculine j'ai choisi l'ingénue.
Mon amour androgyne d'un temps qui s'efface
en notre pantomime à tâtons d'inconnus
femme masculine j'ai choisi l'ingénue
sous nos doigts se dessinaient, reliefs, corps de face.
Je te pensais réveil tu étais là comtoise
tu appelais l'éveil je te nommais framboise.
En notre pantomime à tâtons d'inconnus
et pourtant si fière en vérité toute nue
sous nos doigts se dessinaient, reliefs, corps de face
tu me chantais en ce refrain le temps qui passe.
je t'aimais assidu toi ma belle ambiguë
et pourtant si fière en vérité toute nue
je pourchassais un rêve que la nuit trépasse.
Je te pensais réveil tu étais là comtoise
tu appelais l'éveil je te nommais framboise.
Je t'aimais assidu toi ma belle ambiguë
mon amour androgyne d'un temps qui s'efface
je pourchassais un rêve que la nuit trépasse
femme masculine j'ai choisi l'ingénue.
Mon amour androgyne d'un temps qui s'efface
en notre pantomime à tâtons d'inconnus
femme masculine j'ai choisi l'ingénue
sous nos doigts se dessinaient, reliefs, corps de face.
Je te pensais réveil tu étais là comtoise
tu appelais l'éveil je te nommais framboise.
En notre pantomime à tâtons d'inconnus
et pourtant si fière en vérité toute nue
sous nos doigts se dessinaient, reliefs, corps de face
tu me chantais en ce refrain le temps qui passe.