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Ce n’est pas parce ce que leurs rimes sont faciles
Qu’il faut que les poètes passent pour imbéciles .
Je rencontre un énergumène
Qui me déclare mon cher Diogène
Pour que demain l’on se promène
Faut un moteur à hydrogène.
Du moteur je vois bien le bout
Mais l’hydrogène on le prend où
Il n’est pas là, à l’état pur
Qui gambade dans la nature
J’ai appris quand j’étais petiot
Qu’il faut électrolyser l’eau
Pour obtenir ce gaz en H
Qui d’oxygène se détache
Oui mais voila l’électrolyse
Ne marche que sur une prise
Il faudra donc une énergie
Pour obtenir l’autre énergie
Et le fantôme de Lavoisier
Là, commence à s’apitoyer:
On transforme l’énergétique
Mais jamais on ne le fabrique
Qu’avez-vous appris à l’école
Pour croire à une telle colle
On vous raconte des histoires
En vous prenant pour belles poires.
Si pas de vent pas d’énergie
Pas de soleil et le watt gît
Et ces deux mannes prétendues
Ont des absences imprévues.
Comment assurer le stockage
Car les accus sont des garages
Qui consomme bien des matières
Toxiques autant que passagères.
Et les solutions actuelles
Politiques autant qu’irréelles
Ont pour but de vous empailler!
Laissons les savants travailler.
Lavoisier dit tout se transforme
La chose vous parait énorme
Mais hélas quand on change cent
Quarante n’est que le rendement.
Les pertes sont inéluctables
Notre savoir est incapable
De transformer une matière
En sachant la garder entière
Prenons en exemple pratique:
Toutes les autos sont électriques
Et tous les soirs à la même heure
On met la bagnole au chargeur
Alors imaginez la chose
Pour qu’assez de watt on propose
Il faudrait par dizaine faire
D’autres centrales nucléaires.
Et si nous devenions solaires
Ces cellules peu ordinaires
Demanderaient des terres rares
Qui ont toutes des noms bizarres
Espérant qu’il en reste un peu
Car les téléphones nombreux
En ont écorné les réserves
Dont on n’a fait nulle conserve !
Lavoisier fut décapité
Vous m’en voyez fort dépité
Mais il avait pourtant raison
L’ignorance n’a pas de saison.
On vend à des fins politiques
D’énormes bobards scientifiques
On vous promet une utopie
Sans savoir d’où vient l’énergie ?
Combien faudrait-il d’éoliennes
Selon la gent politicienne
Et combien de panneaux solaires
Selon nos plénipotentiaires
Faudrait-il que les politiques
À la science très anémique
Se mettent aux mathématiques
À la chimie, à la physique.
Au lieu d’apprendre le mensonge
La langue de bois qui nous ronge
Et de montrer parlant de tout
Que le rien est leur seul atout.
Donc rappelons un vieil adage
Dont il est bon de faire usage
"Souviens-toi de te méfier"
Si rien ne se peut vérifier.
Et voulez-vous savoir pourquoi
Ceux qui en sciences font loi
N’ont pas la parole publique ?
"Le vrai tuerait la politique ".
Si vous n’économisez pas
Notre énergie à tour de bras
Vous aurez des enfants chagrins
D’avoir eu des parents crétins.
Quant à la science qui travaille
Laissez-la donc livrer bataille
Donnez-lui un peu la parole
Ne croyez plus aux fariboles.
Qu’il faut que les poètes passent pour imbéciles .
Je rencontre un énergumène
Qui me déclare mon cher Diogène
Pour que demain l’on se promène
Faut un moteur à hydrogène.
Du moteur je vois bien le bout
Mais l’hydrogène on le prend où
Il n’est pas là, à l’état pur
Qui gambade dans la nature
J’ai appris quand j’étais petiot
Qu’il faut électrolyser l’eau
Pour obtenir ce gaz en H
Qui d’oxygène se détache
Oui mais voila l’électrolyse
Ne marche que sur une prise
Il faudra donc une énergie
Pour obtenir l’autre énergie
Et le fantôme de Lavoisier
Là, commence à s’apitoyer:
On transforme l’énergétique
Mais jamais on ne le fabrique
Qu’avez-vous appris à l’école
Pour croire à une telle colle
On vous raconte des histoires
En vous prenant pour belles poires.
Si pas de vent pas d’énergie
Pas de soleil et le watt gît
Et ces deux mannes prétendues
Ont des absences imprévues.
Comment assurer le stockage
Car les accus sont des garages
Qui consomme bien des matières
Toxiques autant que passagères.
Et les solutions actuelles
Politiques autant qu’irréelles
Ont pour but de vous empailler!
Laissons les savants travailler.
Lavoisier dit tout se transforme
La chose vous parait énorme
Mais hélas quand on change cent
Quarante n’est que le rendement.
Les pertes sont inéluctables
Notre savoir est incapable
De transformer une matière
En sachant la garder entière
Prenons en exemple pratique:
Toutes les autos sont électriques
Et tous les soirs à la même heure
On met la bagnole au chargeur
Alors imaginez la chose
Pour qu’assez de watt on propose
Il faudrait par dizaine faire
D’autres centrales nucléaires.
Et si nous devenions solaires
Ces cellules peu ordinaires
Demanderaient des terres rares
Qui ont toutes des noms bizarres
Espérant qu’il en reste un peu
Car les téléphones nombreux
En ont écorné les réserves
Dont on n’a fait nulle conserve !
Lavoisier fut décapité
Vous m’en voyez fort dépité
Mais il avait pourtant raison
L’ignorance n’a pas de saison.
On vend à des fins politiques
D’énormes bobards scientifiques
On vous promet une utopie
Sans savoir d’où vient l’énergie ?
Combien faudrait-il d’éoliennes
Selon la gent politicienne
Et combien de panneaux solaires
Selon nos plénipotentiaires
Faudrait-il que les politiques
À la science très anémique
Se mettent aux mathématiques
À la chimie, à la physique.
Au lieu d’apprendre le mensonge
La langue de bois qui nous ronge
Et de montrer parlant de tout
Que le rien est leur seul atout.
Donc rappelons un vieil adage
Dont il est bon de faire usage
"Souviens-toi de te méfier"
Si rien ne se peut vérifier.
Et voulez-vous savoir pourquoi
Ceux qui en sciences font loi
N’ont pas la parole publique ?
"Le vrai tuerait la politique ".
Si vous n’économisez pas
Notre énergie à tour de bras
Vous aurez des enfants chagrins
D’avoir eu des parents crétins.
Quant à la science qui travaille
Laissez-la donc livrer bataille
Donnez-lui un peu la parole
Ne croyez plus aux fariboles.