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C'est un scandale que mon poème ci-dessous "L'amour cherché, l'amour trouvé n'ait recueilli que -2- commentaires ! Je poème est-il devenu le site de petits copains qui se congratulent entre eux ? Je réfléchis à n'y plus mettre les pieds
Nos murmures amoureux
Ondulaient dans l’alcôve ;
Nos lascifs abandons
Bruissaient en un long désir.
Mais le collier de l’entente
Perdit son plus beau fleuron
Quand mon verbe trancha ton cœur.
Amour, je te cherche.
Je marche dans ton silence.
L’amour fantôme me poursuit ;
L’ombre m’envahit ;
Je m’égare dans la sombre imagination.
Ton nez se frotte contre ma tête ombreuse ;
Tes oreilles ourlent mes noirs soupirs ;
Tes yeux cèdent leurs diamants à l’obscur ;
Ta bouche recrache mes baisers calcinés ;
Tes cheveux se transforment en cendres ardents.
Amour, où es-tu ?
La nuit se couche sur l’aurore,
Ma peine s’étend sur l’amour ;
L’ombre des étoiles ruissellent sur l’aube,
L’amour m’entoure de sa silhouette ;
L’aube chante, le sang coule sur l’azur,
Je siffle, la sève amoureuse sourd en moi ;
Au loin, le soleil sort la tête de l’eau,
L’amour émerge d’une mer de tristesse.
Amour, je t’aperçois.
Tes pas résonnent de félicité,
Tes jambes emmènent de luxurieuses hanches,
Tes mains essuient les salves d’un cœur en feu,
Tes seins conduisent l’amour.
La goutte divine perle sur ton regard,
Le suc de tes lèvres enivre ma pensée
Le doux frisson de tes narines me parcoure,
Je m’abandonne sur l’intime duvet.
Amour, je suis à toi.
Nos murmures amoureux
Ondulaient dans l’alcôve ;
Nos lascifs abandons
Bruissaient en un long désir.
Mais le collier de l’entente
Perdit son plus beau fleuron
Quand mon verbe trancha ton cœur.
Amour, je te cherche.
Je marche dans ton silence.
L’amour fantôme me poursuit ;
L’ombre m’envahit ;
Je m’égare dans la sombre imagination.
Ton nez se frotte contre ma tête ombreuse ;
Tes oreilles ourlent mes noirs soupirs ;
Tes yeux cèdent leurs diamants à l’obscur ;
Ta bouche recrache mes baisers calcinés ;
Tes cheveux se transforment en cendres ardents.
Amour, où es-tu ?
La nuit se couche sur l’aurore,
Ma peine s’étend sur l’amour ;
L’ombre des étoiles ruissellent sur l’aube,
L’amour m’entoure de sa silhouette ;
L’aube chante, le sang coule sur l’azur,
Je siffle, la sève amoureuse sourd en moi ;
Au loin, le soleil sort la tête de l’eau,
L’amour émerge d’une mer de tristesse.
Amour, je t’aperçois.
Tes pas résonnent de félicité,
Tes jambes emmènent de luxurieuses hanches,
Tes mains essuient les salves d’un cœur en feu,
Tes seins conduisent l’amour.
La goutte divine perle sur ton regard,
Le suc de tes lèvres enivre ma pensée
Le doux frisson de tes narines me parcoure,
Je m’abandonne sur l’intime duvet.
Amour, je suis à toi.