Hors ligne
Le vent sur la voile vient tissé son cadavre
Pour glisser, s'écraser sur les murs du trépas
En des heures épuisées d'une vie qui se navre
Sombrant dans les abîmes éternels le cœur las.
Entends le silence son chant crépusculaire
Le souffle de la vie dans un tout dernier cri
Corps et âme échoués en un lieu solitaire
Loin du monde vivant, sans amour ni ami.
Traverser le miroir sous un champ lexical
Dans les reflets du temps où s'estompe l'image
Disperser ça et là les cendres du mal
Libérer l'esprit enfin de tout cet outrage.
Pour glisser, s'écraser sur les murs du trépas
En des heures épuisées d'une vie qui se navre
Sombrant dans les abîmes éternels le cœur las.
Entends le silence son chant crépusculaire
Le souffle de la vie dans un tout dernier cri
Corps et âme échoués en un lieu solitaire
Loin du monde vivant, sans amour ni ami.
Traverser le miroir sous un champ lexical
Dans les reflets du temps où s'estompe l'image
Disperser ça et là les cendres du mal
Libérer l'esprit enfin de tout cet outrage.