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Poème Conséquences solaires

Peniculo

Maître poète
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#1
Conséquences solaires


La très-chère était nue, aurait dit Baudelaire,
Et n'ayant pas gardé le plus petit bijou
Exposait sans souci au bel astre solaire
Sa peau pouvant bronzer absolument partout.

Au dessus de son mur je jetai un regard
Pour caresser des yeux cette beauté trop pâle
Incitant mon esprit à rêver d’un égard
Plaisant à cette fleur dépourvue de sépale.

Elle était donc couchée, et me laissait la voir
Puis dit enduisez moi d’un baume qui protège
Aux rayons en excès il me faut bien surseoir
Pour ne pas se brûler il faut être stratège

Lors négligeant le mur qui d’un bond fut sauté,
Je caressai sa peau avec béatitude,
Errant à la surface de cette nudité
Elle fut revêtue de ma sollicitude.

Et quand des pieds menus à la pointe des seins,
Je l’eus mise à l’abri d’un surcroît de lumière
Elle mit sous mes yeux incrédules mais sereins
Des appas exigeant que j’huile son derrière.

Bien qu’ayant des idées complétant le massage
Il n’était pas question d’y mêler quelque mal
En protégeant sa peau je devais rester sage
Devenir pain d’épices était son optimal.

Pourtant le soir venant elle eut d’autres desseins
Quelques rougeurs subites lui firent chercher l’ombre
Du couchant les rayons pouvaient être malsains
De l’ excès de lumière elle passa au sombre

Et le grand disque rouge décidant de mourir,
S’abstint en se couchant d’ illuminer la chambre,
Le silence du soir se changea en soupir ,
Quand le lait hydratant rafraîchit sa peau d'ambre !










 
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21 Octobre 2018
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Localité
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Je suis
Une femme
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#2
Conséquences solaires


La très-chère était nue, aurait dit Baudelaire,
Et n'ayant pas gardé le plus petit bijou
Exposait sans souci au bel astre solaire
Sa peau pouvant bronzer absolument partout.


Au dessus de son mur je jetai un regard
Pour caresser des yeux cette beauté trop pâle
Incitant mon esprit à rêver d’un égard
Plaisant à cette fleur dépourvue de sépale.


Elle était donc couchée, et me laissait la voir
Puis dit enduisez moi d’un baume qui protège
Aux rayons en excès il me faut bien surseoir
Pour ne pas se brûler il faut être stratège


Lors négligeant le mur qui d’un bond fut sauté,
Je caressai sa peau avec béatitude,
Errant à la surface de cette nudité
Elle fut revêtue de ma sollicitude.


Et quand des pieds menus à la pointe des seins,
Je l’eus mise à l’abri d’un surcroît de lumière
Elle mit sous mes yeux incrédules mais sereins
Des appas exigeant que j’huile son derrière.


Bien qu’ayant des idées complétant le massage
Il n’était pas question d’y mêler quelque mal
En protégeant sa peau je devais rester sage
Devenir pain d’épices était son optimal.


Pourtant le soir venant elle eut d’autres desseins
Quelques rougeurs subites lui firent chercher l’ombre
Du couchant les rayons pouvaient être malsains
De l’ excès de lumière elle passa au sombre


Et le grand disque rouge décidant de mourir,
S’abstint en se couchant d’ illuminer la chambre,
Le silence du soir se changea en soupir ,
Quand le lait hydratant rafraîchit sa peau d'ambre !











Encore un plaisir de lecture comme à l'accoutumé
Merci
Gaby
 
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