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Avertissement : ce qui suit est un joyeux délire dédié aux lecteurs ayant un penchant pour le masochisme hétérosexuel. Humoristique, mais chaud ! Si la modération souhaite supprimer cette pièce, je comprendrai..
Discipline à l’ancienne
J’ai eu la chance en ma jeunesse
D’être éduqué à l’Institut
Privé des Saintes Patronnesses
Dresseuses de garçons en rut.
Une professeure un peu vache
M’y dispensait ses cours d’histoire
En faisant claquer sa cravache
Sur mon séant aux cours du soir.
La répétitrice sévère
Qui me donnait des cours de langue
Exigeait que je persévère
En m’entrainant bien sur sa mangue.
Pour réprimer mes bavardages
Mon accorte prof’ de musique
S’asseyait nue sur mon visage
Remuant son cul académique.
Une prof d’allemand très dure
Me punissait, à chaque erreur,
En utilisant sa chaussure
Pour me rougir le postérieur
Quant à ma professeur de lettres
Quand sonnait l’heure de la pause
Elle ordonnait, pour me soumettre
Que je lui fisse feuille de rose.
Et puis il y avait les autres
Dames de ce lycée spécial.
Toutes se faisaient les apôtres
De cette éducation fatale :
Celle chargée du catéchisme,
Qui sachant ma foi sans pareil
En un vertueux fétichisme,
Me faisait lécher ses orteils.
L’impressionnante proviseure
Qui convoquait dans son bureau
Deux ou trois élèves à toute heure
Pour butiner son berlingot.
La surveillante générale
Une berrichonne de souche
Qui aimait dominer les mâles
En leur ******* dans la ****** ;
Ah, c’était un vrai sacerdoce,
Elles croyaient en leur métier !
Elles m’ont fait pervers précoce,
Je ne puis que les remercier.
Dans les écoles d’aujourd’hui,
La discipline a fait son temps.
Mai 68 a tout pourri :
Où est l’éducation d’antan ?
Discipline à l’ancienne
J’ai eu la chance en ma jeunesse
D’être éduqué à l’Institut
Privé des Saintes Patronnesses
Dresseuses de garçons en rut.
Une professeure un peu vache
M’y dispensait ses cours d’histoire
En faisant claquer sa cravache
Sur mon séant aux cours du soir.
La répétitrice sévère
Qui me donnait des cours de langue
Exigeait que je persévère
En m’entrainant bien sur sa mangue.
Pour réprimer mes bavardages
Mon accorte prof’ de musique
S’asseyait nue sur mon visage
Remuant son cul académique.
Une prof d’allemand très dure
Me punissait, à chaque erreur,
En utilisant sa chaussure
Pour me rougir le postérieur
Quant à ma professeur de lettres
Quand sonnait l’heure de la pause
Elle ordonnait, pour me soumettre
Que je lui fisse feuille de rose.
Et puis il y avait les autres
Dames de ce lycée spécial.
Toutes se faisaient les apôtres
De cette éducation fatale :
Celle chargée du catéchisme,
Qui sachant ma foi sans pareil
En un vertueux fétichisme,
Me faisait lécher ses orteils.
L’impressionnante proviseure
Qui convoquait dans son bureau
Deux ou trois élèves à toute heure
Pour butiner son berlingot.
La surveillante générale
Une berrichonne de souche
Qui aimait dominer les mâles
En leur ******* dans la ****** ;
Ah, c’était un vrai sacerdoce,
Elles croyaient en leur métier !
Elles m’ont fait pervers précoce,
Je ne puis que les remercier.
Dans les écoles d’aujourd’hui,
La discipline a fait son temps.
Mai 68 a tout pourri :
Où est l’éducation d’antan ?
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