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Du domaine de mon cœur
L'aube a ses mystères, aussi bien que l'amour
L'Hêtre a des racines, mais vois l'arbre pousser
Par delà les cimes, la vie j'ai épousé
Même les nuées au beau manteau de velours
Ont leurs charmes divins, remplaçant l'azur fier !
Un soleil timide a peine à nous éclairer,
Mon âme voltige dans les cieux éthérés !
Mais vrai, j'écris mes cris, des poèmes d'Hiver...
**********************************************************************
Envole toi mon âme, éprise du noir gouffre
Enivre toi des chants, et sens toutes merveilles
Au delà des nuées, il y a le soleil
Tandis que sur Terre, je ne sens que le soufre !
Parnasse je côtoie, chaque fois, je le grimpe
Azur, Nuit, Dieu, Diane, mère écoutez ma plainte
La vallée de larmes, sentez donc ma complainte
Je dérobe le Feu, le Flambeau de l'Olympe !
Ta Sensibilité, mon cœur, va te tuer
Ne te sens tu pas proche du Spleen et du gouffre
Ô faiseur d'images au triste cœur qui souffre
Je charme mes larmes, au Mal habitué...
**********************************************************************
Ma Rose à la robe d'un velours idéal
J'ai pour toi des sentiments plein de religion
Ange ou Démon peu m'importe bien la Légion
Tu fis un empire auquel je suis féodal
Ma tendre, si mon cœur à ton cœur ne résiste
Quand on a que l'amour, et qu'il durera long
Douce violence, des tendres violons
Voici quant au Seigneur, la preuve qu'il existe !
L'Hêtre a des racines, mais vois l'arbre pousser
Par delà les cimes, la vie j'ai épousé
Même les nuées au beau manteau de velours
Ont leurs charmes divins, remplaçant l'azur fier !
Un soleil timide a peine à nous éclairer,
Mon âme voltige dans les cieux éthérés !
Mais vrai, j'écris mes cris, des poèmes d'Hiver...
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Envole toi mon âme, éprise du noir gouffre
Enivre toi des chants, et sens toutes merveilles
Au delà des nuées, il y a le soleil
Tandis que sur Terre, je ne sens que le soufre !
Parnasse je côtoie, chaque fois, je le grimpe
Azur, Nuit, Dieu, Diane, mère écoutez ma plainte
La vallée de larmes, sentez donc ma complainte
Je dérobe le Feu, le Flambeau de l'Olympe !
Ta Sensibilité, mon cœur, va te tuer
Ne te sens tu pas proche du Spleen et du gouffre
Ô faiseur d'images au triste cœur qui souffre
Je charme mes larmes, au Mal habitué...
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Ma Rose à la robe d'un velours idéal
J'ai pour toi des sentiments plein de religion
Ange ou Démon peu m'importe bien la Légion
Tu fis un empire auquel je suis féodal
Ma tendre, si mon cœur à ton cœur ne résiste
Quand on a que l'amour, et qu'il durera long
Douce violence, des tendres violons
Voici quant au Seigneur, la preuve qu'il existe !
J. Lou Baccarra
Le 4 Mars 2021
Le 4 Mars 2021
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