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Le spectre d’un feu temps file en négligé d’ombre
Et ce délice enfui sent le parfum d’encours
Tournent les maux d’antan sur des axes trop courts
Vibrent les sons du corps aux courbes sans encombre.
L’esthète à l’aura d’or se mire au doux flanelle
Quand la langue se fond à l’ancolie d’instants
Vivre ivre à deux sans leurre au pied d’âtres latents
Laisser les faux semblants dans mon cœur… où flâne Elle.
Ta moiteur, ô duo ! se joue des ho d’émoi
Coulent nos mois gémeaux, soigne ma plaie absence.
Dans les yeux d’une larme étincelle un bleu dense
C’est dans ce regard flou que je me sens chez-moi.
Et si parfois la vie fait la moue des faut pas
Si la dame à la faux prend le goût d’une ivresse
Que nous soudoie l’enfer, saoul des vers son trépas
C’est vers toi mon amour que paradis se dresse...
Et ce délice enfui sent le parfum d’encours
Tournent les maux d’antan sur des axes trop courts
Vibrent les sons du corps aux courbes sans encombre.
L’esthète à l’aura d’or se mire au doux flanelle
Quand la langue se fond à l’ancolie d’instants
Vivre ivre à deux sans leurre au pied d’âtres latents
Laisser les faux semblants dans mon cœur… où flâne Elle.
Ta moiteur, ô duo ! se joue des ho d’émoi
Coulent nos mois gémeaux, soigne ma plaie absence.
Dans les yeux d’une larme étincelle un bleu dense
C’est dans ce regard flou que je me sens chez-moi.
Et si parfois la vie fait la moue des faut pas
Si la dame à la faux prend le goût d’une ivresse
Que nous soudoie l’enfer, saoul des vers son trépas
C’est vers toi mon amour que paradis se dresse...
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