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Pastiche d'un poème de Félix Arvers :
Écho d'un Amour Silencieux
Je souffre d'avoir lu votre sonnet mystère,
Juste après votre mort, si joliment conçu,
Un poème où l'amour que vous n'avez su taire,
Revendiquait à tous que j'en avais rien su.
Alors vous avez cru passer inaperçu,
A mes yeux embués de votre art solitaire,
Je ne voyais que vous, en poète sur terre,
J'attendais tant de vous mais je n'ai rien reçu.
Oh j'avais, entre nous, juste une oreille à tendre,
Découvrir cet écrit que l'on pouvait entendre,
Dans le salon Nodier où s'élevaient vos pas...
Jamais, dans vos groupies, je n'étais infidèle,
Au murmure d'amour que votre voix fit d'elle,
En délivrant ces mots que je ne compris pas.
15 février 2025
Écho d'un Amour Silencieux
Je souffre d'avoir lu votre sonnet mystère,
Juste après votre mort, si joliment conçu,
Un poème où l'amour que vous n'avez su taire,
Revendiquait à tous que j'en avais rien su.
Alors vous avez cru passer inaperçu,
A mes yeux embués de votre art solitaire,
Je ne voyais que vous, en poète sur terre,
J'attendais tant de vous mais je n'ai rien reçu.
Oh j'avais, entre nous, juste une oreille à tendre,
Découvrir cet écrit que l'on pouvait entendre,
Dans le salon Nodier où s'élevaient vos pas...
Jamais, dans vos groupies, je n'étais infidèle,
Au murmure d'amour que votre voix fit d'elle,
En délivrant ces mots que je ne compris pas.
15 février 2025