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Elisabeth, c'était ta fête il y a quelques jours : samedi 17 exactement.
J'y avais pensé et quelle tête de linotte que je suis, j'ai laissé passé la date....Sache que malgré ton départ , je pense souvent à toi. Toi, qui aimais écrire ! Tu nous as laissé tes beaux écrits que nous avons lu et relu.
Pour ton jour de fête, je me permets de publier un de tes écrits en souvenir de notre amitié.
Une amie, que beaucoup se souviennent et n'oublie pas.
Elisabeth, tu as fini de souffrir, repose en paix.
==================================================================================
Comblons les vides
Comblons les rides
Cessons d'être lucide.
Comblons les greniers
De nos souvenirs mal aimés
Avec nos instants préférés.
Comblons les heures blanches
De nos existences
Sous le fard
De nos errances.
Jouons à être Autre,
Jouons à tout recommencer.
A jouir d'être à nouveau
Comme si nous n'avions jamais été.
Et au bout de ce mensonge,
Parfois l'on songe
Que le présent aurait pu être pire
Que le passé avait des éclats d'"aimer".
Qu'ainsi on peut
Sans colère, sans regret
Tout continuer
A tout rêver.
J'y avais pensé et quelle tête de linotte que je suis, j'ai laissé passé la date....Sache que malgré ton départ , je pense souvent à toi. Toi, qui aimais écrire ! Tu nous as laissé tes beaux écrits que nous avons lu et relu.
Pour ton jour de fête, je me permets de publier un de tes écrits en souvenir de notre amitié.
Une amie, que beaucoup se souviennent et n'oublie pas.
Elisabeth, tu as fini de souffrir, repose en paix.
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Comblons les vides
Comblons les rides
Cessons d'être lucide.
Comblons les greniers
De nos souvenirs mal aimés
Avec nos instants préférés.
Comblons les heures blanches
De nos existences
Sous le fard
De nos errances.
Jouons à être Autre,
Jouons à tout recommencer.
A jouir d'être à nouveau
Comme si nous n'avions jamais été.
Et au bout de ce mensonge,
Parfois l'on songe
Que le présent aurait pu être pire
Que le passé avait des éclats d'"aimer".
Qu'ainsi on peut
Sans colère, sans regret
Tout continuer
A tout rêver.