Hors ligne
E lle était amoureuse de sa maîtresse d'école
L a petite fille dès qu'elle eut douze ans
L à des qu'elle l'apercevait son coeur battait
E t elle perdait tous ses faibles moyens
Elle était au petits soins pour elle
T oujours prête à lui rendre service
A vec parfois des envies de l'effleurer
I mpétuosité et fougue de la jeunesse
Toujours en éveil de sa puberté
A la messe tous les mercredis elle allait
Mais cherchait toujours une place à ses côtés
O ubliant sciemment ses meilleures amies
U n seul frôlement et elle était tout émoustillée
R egards en coin elle lui adressait très souvent
E spérant toujours en recevoir un en retour
U n sourire parfois la maîtresse lui rendait
S oulevant en elle un élan passionnel
E t alors elle espérait un amour réciproque
D urant ses sept années d'internat
E lle emplifia cet amour idéologique
S ans aucun retour bien évidemment
A u dortoir elle se faisait punir volontairement
M archant alors vers la chambre de son élue
A vec le grand espoir qu'elle ouvre sa porte
I nvolontairement cela arriva quelques fois.
T ous les matins cette institutrice veillait au lever
R oselyne, ainsi nous la nommerons
E n silence présidait au lever des pensionnaires
S ans jamais crier, toujours très calme
Seule notre chère élève se faisait remarquer
E n se distinguant par n'importe quelle moyen
D urant toutes ces années cet amour à sens unique
E nvahit son esprit ; elle y croyait fermement
C' est alors qu'elle croisa le regard de son premier amour
O ubliant enfin son amour de jeunesse impossible
L a demoiselle fonda une grande famille
E t au fond d'elle même ensevelit ce doux souvenir
Dernière édition: Hier à 13:43
L a petite fille dès qu'elle eut douze ans
L à des qu'elle l'apercevait son coeur battait
E t elle perdait tous ses faibles moyens
Elle était au petits soins pour elle
T oujours prête à lui rendre service
A vec parfois des envies de l'effleurer
I mpétuosité et fougue de la jeunesse
Toujours en éveil de sa puberté
A la messe tous les mercredis elle allait
Mais cherchait toujours une place à ses côtés
O ubliant sciemment ses meilleures amies
U n seul frôlement et elle était tout émoustillée
R egards en coin elle lui adressait très souvent
E spérant toujours en recevoir un en retour
U n sourire parfois la maîtresse lui rendait
S oulevant en elle un élan passionnel
E t alors elle espérait un amour réciproque
D urant ses sept années d'internat
E lle emplifia cet amour idéologique
S ans aucun retour bien évidemment
A u dortoir elle se faisait punir volontairement
M archant alors vers la chambre de son élue
A vec le grand espoir qu'elle ouvre sa porte
I nvolontairement cela arriva quelques fois.
T ous les matins cette institutrice veillait au lever
R oselyne, ainsi nous la nommerons
E n silence présidait au lever des pensionnaires
S ans jamais crier, toujours très calme
Seule notre chère élève se faisait remarquer
E n se distinguant par n'importe quelle moyen
D urant toutes ces années cet amour à sens unique
E nvahit son esprit ; elle y croyait fermement
C' est alors qu'elle croisa le regard de son premier amour
O ubliant enfin son amour de jeunesse impossible
L a demoiselle fonda une grande famille
E t au fond d'elle même ensevelit ce doux souvenir
Dernière édition: Hier à 13:43