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Eloigne-moi de cette flamme dont je suis amoureuse
Celle si belle si esseulée qui s’abandonne à m’abîmer
Celle qui brille au fond de moi et tend la main au désarroi
Celle qui nourrit l’affliction, la tête dans les nuages
Eloigne-moi de tout ce mal dont je crois qu’il tient à moi
Celui qui m’aime et qui m’embrase de jour comme de nuit
Celui à qui je me confie quand j’enlace près des rails
Ce vide qui luit qui se morfond et qui chantonne la mort tout bas
Celle si belle si esseulée qui s’abandonne à m’abîmer
Celle qui brille au fond de moi et tend la main au désarroi
Celle qui nourrit l’affliction, la tête dans les nuages
Eloigne-moi de tout ce mal dont je crois qu’il tient à moi
Celui qui m’aime et qui m’embrase de jour comme de nuit
Celui à qui je me confie quand j’enlace près des rails
Ce vide qui luit qui se morfond et qui chantonne la mort tout bas