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Encore un conte à corriger !
Un féru d’herpétologie
(C’est un gars aimant les serpents)
Déserta un jour son logis
Pour aller chasser le rampant.
Il pensait se faire des euros
Chez Hermès, Gucci ou Balmain
En revendant des tas de peaux
Mises en chaussures, en sacs à main,
Mais aucun visqueux ne fut pris
Car il redoutait les tanneurs
Le sans-patte avait bien compris
Les manigances du chasseur
Il partit pour un an au loin
Laissant sa femme évidemment
Qui pour satisfaire ses besoins
Eut trois cent soixante cinq amants
Portant tous les bois de la chance
Il eut de suite un heureux sort
En guise de corne d’abondance
Il découvrit un filon d’or.
Ayant des pépites en trop
Il en donna à un joaillier
Disant je vais faire un cadeau
En or massif à ma moitié
Un serpent des plus délicats
Avec des yeux faits de rubis
Fut fondu formant un boa
Le collier était hors de prix.
En rentrant il dit à sa femme
Je t’ai apporté un bijou
As tu pour moi gardé ta flamme
Ton absence me rendait fou
Chéri je m’ennuyais de toi
Ton absence était un supplice
Te retrouver est une joie
J’étais privée de tes délices
Le récit est invraisemblable
Car il ne dit rien des amants
On dit alors de la coupable
Cette belle au boa d’or ment.
Un féru d’herpétologie
(C’est un gars aimant les serpents)
Déserta un jour son logis
Pour aller chasser le rampant.
Il pensait se faire des euros
Chez Hermès, Gucci ou Balmain
En revendant des tas de peaux
Mises en chaussures, en sacs à main,
Mais aucun visqueux ne fut pris
Car il redoutait les tanneurs
Le sans-patte avait bien compris
Les manigances du chasseur
Il partit pour un an au loin
Laissant sa femme évidemment
Qui pour satisfaire ses besoins
Eut trois cent soixante cinq amants
Portant tous les bois de la chance
Il eut de suite un heureux sort
En guise de corne d’abondance
Il découvrit un filon d’or.
Ayant des pépites en trop
Il en donna à un joaillier
Disant je vais faire un cadeau
En or massif à ma moitié
Un serpent des plus délicats
Avec des yeux faits de rubis
Fut fondu formant un boa
Le collier était hors de prix.
En rentrant il dit à sa femme
Je t’ai apporté un bijou
As tu pour moi gardé ta flamme
Ton absence me rendait fou
Chéri je m’ennuyais de toi
Ton absence était un supplice
Te retrouver est une joie
J’étais privée de tes délices
Le récit est invraisemblable
Car il ne dit rien des amants
On dit alors de la coupable
Cette belle au boa d’or ment.