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- Orléans
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- Un homme
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Errant (sans moustache ni barbe)
Connaissez-vous l’homme à l’humeur câline
Qui chante ainsi:
Il me faudrait trouver une copine
Pas loin d’ici
La solitude la tristesse me gagne
Un être doux
Serait pour moi l’idéale compagne
Femme bijou
J’ai bien connu la belle Célestine
Mea culpa
Et puis Léa qui était sa voisine
Aux beaux appas
Qui pour un doigt de vin ou de champagne
Sans ses dessous
Vous incitait à ce jeu où l’on gagne
En étant doux
Profitez donc de tous moments d’émoi
Qui vont passer
En recevant et donnant de la joie
Sans vous lasser
Gardez l’envie
Que l’amour accompagne
Un peu partout
Car rarement la jeunesse n’épargne
Tout ses atouts.
Faut-il parler de l’amour qui obsède
Matin et soir
Des rêves fous et de leurs intermèdes
Sans y surseoir
Que dire au cœur quand il bat la campagne
Marquant ses coups
L’amour sera ce qui à deux se gagne
Et qui rend fou
On peut régner sur l’âme d’une belle
Si elle veut
Forger en mots des rimes sensuelles
Aimable Aveu
Et dessiner des châteaux en Espagne
Sol Andalou
L’excès d’audace est-il un jeu qui gagne
Ou qui perd tout
Peut-on aimer comme un fou une dame
Qui le veut bien
Conquérir ses attraits et son âme
Par un doux lien
On dit l’attente une sorte de bagne
Au lourd verrou
Sans présence d’une compagne
Plus rien n’est doux.
Mais si l’espoir vous ôte la lumière
Si sans lueur
L’amour se noie dans la triste rivière
Des sans bonheur
Fuyez le sort au delà des montagnes
Tel un filou
Il n’y a plus de jeu ou chacun gagne
Où bien perd tout
Vous ne me verrez pas acariâtre
Ni l’air grognon
Je recherche sans cesse opiniâtre
Minois mignon
Un bel esprit élégant qui se gagne
Tel un bijou
Provenant du midi, de Bretagne
Mais à mon goût
Si le destin m’envoie cette colombe
Par un beau jour
Je saurai être sien jusqu’à la tombe
Au dernier jour
Je franchirai les mers et les montagnes
Selon ses goûts
La volonté d’aimer jamais n’épargne
Les amants fous
Mais s’il m’est refusé tout tendre appui
Je serai las
Et deviendrai celui que chacun fuit
Indélicat
Puis j’errerai perdu dans la campagne
Sans savoir où
Sans but n’ayant pas aimé de compagne
Je mourrai fou!
P.S. :
Si vous me dites cet écrit
Sonne Brassens évoque Hugo
Je n’en serai pas très surpris
Ces rimes là sont leurs échos
Qui venant d’un petit auteur
Essaient d’amuser le lecteur .
Connaissez-vous l’homme à l’humeur câline
Qui chante ainsi:
Il me faudrait trouver une copine
Pas loin d’ici
La solitude la tristesse me gagne
Un être doux
Serait pour moi l’idéale compagne
Femme bijou
J’ai bien connu la belle Célestine
Mea culpa
Et puis Léa qui était sa voisine
Aux beaux appas
Qui pour un doigt de vin ou de champagne
Sans ses dessous
Vous incitait à ce jeu où l’on gagne
En étant doux
Profitez donc de tous moments d’émoi
Qui vont passer
En recevant et donnant de la joie
Sans vous lasser
Gardez l’envie
Que l’amour accompagne
Un peu partout
Car rarement la jeunesse n’épargne
Tout ses atouts.
Faut-il parler de l’amour qui obsède
Matin et soir
Des rêves fous et de leurs intermèdes
Sans y surseoir
Que dire au cœur quand il bat la campagne
Marquant ses coups
L’amour sera ce qui à deux se gagne
Et qui rend fou
On peut régner sur l’âme d’une belle
Si elle veut
Forger en mots des rimes sensuelles
Aimable Aveu
Et dessiner des châteaux en Espagne
Sol Andalou
L’excès d’audace est-il un jeu qui gagne
Ou qui perd tout
Peut-on aimer comme un fou une dame
Qui le veut bien
Conquérir ses attraits et son âme
Par un doux lien
On dit l’attente une sorte de bagne
Au lourd verrou
Sans présence d’une compagne
Plus rien n’est doux.
Mais si l’espoir vous ôte la lumière
Si sans lueur
L’amour se noie dans la triste rivière
Des sans bonheur
Fuyez le sort au delà des montagnes
Tel un filou
Il n’y a plus de jeu ou chacun gagne
Où bien perd tout
Vous ne me verrez pas acariâtre
Ni l’air grognon
Je recherche sans cesse opiniâtre
Minois mignon
Un bel esprit élégant qui se gagne
Tel un bijou
Provenant du midi, de Bretagne
Mais à mon goût
Si le destin m’envoie cette colombe
Par un beau jour
Je saurai être sien jusqu’à la tombe
Au dernier jour
Je franchirai les mers et les montagnes
Selon ses goûts
La volonté d’aimer jamais n’épargne
Les amants fous
Mais s’il m’est refusé tout tendre appui
Je serai las
Et deviendrai celui que chacun fuit
Indélicat
Puis j’errerai perdu dans la campagne
Sans savoir où
Sans but n’ayant pas aimé de compagne
Je mourrai fou!
P.S. :
Si vous me dites cet écrit
Sonne Brassens évoque Hugo
Je n’en serai pas très surpris
Ces rimes là sont leurs échos
Qui venant d’un petit auteur
Essaient d’amuser le lecteur .