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Hors ligne
Errare humanum est , perseverare diabolicum
À ceux qui me lisant corrigent mes erreurs
Je leur dis grand merci pour leur bel intérêt
Corriger c’est savoir dévoiler les secrets
D’un écrit fignolé séduisant le lecteur !
On a beau se relire et passer au gueuloir
Le texte d’un écrit que l’esprit vient de pondre
Plus l’on s’auto corrige afin de tout refondre
Plus on limitera l’excès de nonchaloir.
Plus la chose a de mots plus il est difficile
D’unir la prosodie à l’imaginatif
Les idées jaillissant le papier est fautif
D’accepter sans grogner la sottise futile.
Des lecteurs attentifs au regard scrutateur
Prenant de l’intérêt au fond et à la forme
Remarquent aussitôt ce qui choque la norme
Conférant au poème une moindre valeur
Si un regard très «sharp» comme on dit outre-manche
Qui par ailleurs écrit des mots avec talent
A l’amabilité en étant mon chaland
Je retire les fruits enlaidissaient ma branche.
Me sachant perfectible et ramant à nouveau
Je capte ses conseils pour corriger la chose
Et sans prétendre aller jusqu’à l’apothéose
J’ôte de mon poème un paquet de défauts
D’abord je remercie étant de cette école
Où toute politesse n’était qu’un premier pas
Puis je remets l’écrit purgé et délicat
Sur les pages d’ici : jardin poèmicole.
Si par un sot hasard le corrigé déçoit
Bien qu’un courage aigu m’incite à la rature
Je pointe les défauts avec désinvolture
Et incite ma muse à faire un meilleur choix
Le texte d’un écrit que l’esprit vient de pondre
Plus l’on s’auto corrige afin de tout refondre
Plus on limitera l’excès de nonchaloir.
Plus la chose a de mots plus il est difficile
D’unir la prosodie à l’imaginatif
Les idées jaillissant le papier est fautif
D’accepter sans grogner la sottise futile.
Des lecteurs attentifs au regard scrutateur
Prenant de l’intérêt au fond et à la forme
Remarquent aussitôt ce qui choque la norme
Conférant au poème une moindre valeur
Si un regard très «sharp» comme on dit outre-manche
Qui par ailleurs écrit des mots avec talent
A l’amabilité en étant mon chaland
Je retire les fruits enlaidissaient ma branche.
Me sachant perfectible et ramant à nouveau
Je capte ses conseils pour corriger la chose
Et sans prétendre aller jusqu’à l’apothéose
J’ôte de mon poème un paquet de défauts
D’abord je remercie étant de cette école
Où toute politesse n’était qu’un premier pas
Puis je remets l’écrit purgé et délicat
Sur les pages d’ici : jardin poèmicole.
Si par un sot hasard le corrigé déçoit
Bien qu’un courage aigu m’incite à la rature
Je pointe les défauts avec désinvolture
Et incite ma muse à faire un meilleur choix
Vous découvrez alors un texte mieux portant
Qui répond davantage à sainte prosodie
Et si le relisant me plaît sa mélodie
Je repose ma plume car l’apéro m’attend.
Qui répond davantage à sainte prosodie
Et si le relisant me plaît sa mélodie
Je repose ma plume car l’apéro m’attend.