Hors ligne
C'est la saison
des yeux médusés
des impudeurs de braise
du déferlement des désirs aigus
des douces aimances
aux ventres sources
Ma nuit attend l'accueil de tes bras
L'opale du jour m'offre une tendre morsure
A la fenêtre close
s'échoue la rondeur
de nos lèvres jointes
La poésie d'amour irrépressible
est plus vaste que nous
et impose sa plénitude
veinée de mots fous
C'est le premier été qui vient
avec le feu de ta présence
ample et palpitante
frottée à la houle vive de mes reins
des yeux médusés
des impudeurs de braise
du déferlement des désirs aigus
des douces aimances
aux ventres sources
Ma nuit attend l'accueil de tes bras
L'opale du jour m'offre une tendre morsure
A la fenêtre close
s'échoue la rondeur
de nos lèvres jointes
La poésie d'amour irrépressible
est plus vaste que nous
et impose sa plénitude
veinée de mots fous
C'est le premier été qui vient
avec le feu de ta présence
ample et palpitante
frottée à la houle vive de mes reins