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Fable parlant du Vide et du Covid aussi !
Est ce vrai, est-ce faux le pangolin farci
Ainsi que le ragoût fait de chauve-souris
Aurait perdu sa côte auprès des asiatiques
Qui jalousent l’Europe site gastronomique.
Il y aurait, dit-on, d’étranges particules
Dans ces plats qui parfois au caveau vous basculent.
Aurait-on par mégarde en un laboratoire
Laisser fuir un virus causant toute une histoire ?
Deux centièmes de micron la bête malfaisante
Était aussi petite qu’elle se montrait méchante
Tout ça laissait la Chine dans la grande ignorance
Des saveur de la France sans nulle intolérance.
Chinois venant chez nous êtes vous susceptibles
De frotter l'appétit de vos cordes sensibles
De comprendre nos goûts, nos penchants collectifs
Où ne figurent pas des produits maladifs
Sont-ce des vents mauvais qui nuisent à vos têtes
Car aller au chinois fut longtemps une fête.
Vos tables si plaisantes auraient elles disparu
Votre gastronomie a-t-elle changé de but ?
Les miséreux ont-ils à disséquer chez vous
D’infâmes bestioles inspirant le dégoût ?
Ou saisie d’un délire qui maintenant déplaît
La cuisine chinoise devient-elle sans attrait ?
Au point qu’il soit risqué de se rendre malade
En goûtant sans savoir une pangolinade !
Où sont donc nos cocottes avec leur cul noirci
Et le poulet de Bresse ou le perdreau farci
Les fumets s’échappant d’une pièce gourmande
Quand d’un tir nos chasseurs exauce les demandes.
Il faut dans tous les cas éviter les nuisances
Pour guérir notre globe ne suffit l’espérance
Mais je le dis tout net lorsque l’on saura tout
Je n’irai plus jamais me régaler chez vous
Sauf si cette sottise qui menace le monde
Vient de labos obscurs créant la chose immonde.
Sachant de nos malheur la terrible origine
Et de la malfaisance la tendance assassine
Nous mettrons les coupables en une obscure geôle
Pour qu’enfin ils avouent leur pitoyable rôle
Puis nous les jetterons en lave volcanique
Le feu c’est bien connu est un antiseptique !
Moralité :
Madame papotage a encore de beau jours
Nul ne peut garantir le vrai du bruit qui court.
Donc je passe mon temps reclus en ma caverne.
À mettre sur papier rimes et balivernes.
Espérant que le cul du pondeur de virus
Aura vite un bouchon lui obturant l’anus.
Est ce vrai, est-ce faux le pangolin farci
Ainsi que le ragoût fait de chauve-souris
Aurait perdu sa côte auprès des asiatiques
Qui jalousent l’Europe site gastronomique.
Il y aurait, dit-on, d’étranges particules
Dans ces plats qui parfois au caveau vous basculent.
Aurait-on par mégarde en un laboratoire
Laisser fuir un virus causant toute une histoire ?
Deux centièmes de micron la bête malfaisante
Était aussi petite qu’elle se montrait méchante
Tout ça laissait la Chine dans la grande ignorance
Des saveur de la France sans nulle intolérance.
Chinois venant chez nous êtes vous susceptibles
De frotter l'appétit de vos cordes sensibles
De comprendre nos goûts, nos penchants collectifs
Où ne figurent pas des produits maladifs
Sont-ce des vents mauvais qui nuisent à vos têtes
Car aller au chinois fut longtemps une fête.
Vos tables si plaisantes auraient elles disparu
Votre gastronomie a-t-elle changé de but ?
Les miséreux ont-ils à disséquer chez vous
D’infâmes bestioles inspirant le dégoût ?
Ou saisie d’un délire qui maintenant déplaît
La cuisine chinoise devient-elle sans attrait ?
Au point qu’il soit risqué de se rendre malade
En goûtant sans savoir une pangolinade !
Où sont donc nos cocottes avec leur cul noirci
Et le poulet de Bresse ou le perdreau farci
Les fumets s’échappant d’une pièce gourmande
Quand d’un tir nos chasseurs exauce les demandes.
Il faut dans tous les cas éviter les nuisances
Pour guérir notre globe ne suffit l’espérance
Mais je le dis tout net lorsque l’on saura tout
Je n’irai plus jamais me régaler chez vous
Sauf si cette sottise qui menace le monde
Vient de labos obscurs créant la chose immonde.
Sachant de nos malheur la terrible origine
Et de la malfaisance la tendance assassine
Nous mettrons les coupables en une obscure geôle
Pour qu’enfin ils avouent leur pitoyable rôle
Puis nous les jetterons en lave volcanique
Le feu c’est bien connu est un antiseptique !
Moralité :
Madame papotage a encore de beau jours
Nul ne peut garantir le vrai du bruit qui court.
Donc je passe mon temps reclus en ma caverne.
À mettre sur papier rimes et balivernes.
Espérant que le cul du pondeur de virus
Aura vite un bouchon lui obturant l’anus.