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Grèce, de l'Art et des Dieux !
Du pouvoir aristocratique pour Athènes
Ce furent Dracon, Solon et enfin Clisthène
Qui apportèrent chez eux, la démocratie
L’argent entre les mains de la ploutocratie !
De grands rois Darius et Xerxès se dispersent
Deux guerres médiques, victoire sur les Perses
Bataille de Marathon et de Salamine
L'ennemi fut battu et fit drôle de mine !
Des heurts entre Athènes et Sparte la rivale
Règlements militaires, batailles navales
Hostilités du Pélopponèse à l’Attique
De durs combats, dans ces périodes antiques !
Ô dramaturges ! Sophocle, Eschyle, Euripide
La vraie littérature n’est pas insipide
Socrate, Platon, Aristote, philosophes
J'ai pris par vous, plaisir à écrire ces strophes !
Grèce antique en sublimant le corps humain
En offrant, lettres de noblesse à la sculpture
Par l’effort, le travail artistique des mains
Tu magnifies les trésors de notre culture.
Le Kouros est un homme dénudé debout
Mais la Korê devait restait toujours vêtue
Les statues figurent la beauté sans tabou
Et représentent l’idéal par leur statut.
Au Louvre, la Victoire de Samothrace
La femme ailée sur la proue d’un bateau de guerre
C’est un ex-voto, le temps a laissé des traces
Un hommage aux Dieux, déités de naguère.
Le beau Parthénon sur l’acropole d’Athènes
Qui gardait Pallas Athéna de Phidias
La déesse du temple, la belle hellène
Par sa hauteur prenait un large, grand espace.
Colosse de Rhodes, l’imposant monument
Hélios, le dieu soleil, un vrai géant
Servant de porte d’entrée au port, un moment
Tragique, il s’effondra d’un coup dans l’océan.
La Vénus de Milo, au doux nom d’Aphrodite
La création supposée de Praxitèle
Admirer l’esthétique de l’œuvre produite
Et le réalisme du drapé de dentelle.
Du chaos, genèse des forces naturelles
Gaïa engendra les Montagnes et Pontos
Et puis, de son union avec Ouranos
Naîtra douze Titans, six mâles et six femelles.
Les cyclopes et les mystérieux Hécatonchires
Ouranos, par peur, enfouit tous ses enfants
Dans les entrailles de la Terre, et défiant
Le père, Cronos le castre pour l’infléchir.
Du sang de la blessure, naissent les Géants
Les Méliades, les furieuses Erynies
Cronos libère les Titans, mange ses petits
Et Zeus, son fils, lui fait vomir ses descendants.
Venez à moi ! Ô dieux des cités antiques
Sortez de vos tombeaux et passez ce portique
Ô toi ! Ô grand Ra, que ta lumière m’éclaire
Et toi ! Ô Zeus, peux-tu brandir ton bras d’éclair.
Athéna ! Donne-moi, raison, prudence, sagesse
Que ma vie ne soit point que combats et bassesses
Aphrodite ! Ta beauté éblouit mon âme
Que mon cœur ne soit la proie d’un amour infâme.
Hermès ! Toi le messager, apporte-moi chance
Apollon ! Fais que ma poésie soit brillance
Symbole de toute vie, je te prie Isis
Régénère mon corps, comme celui d’Osiris.
Les dieux meurent aussi ! Ils se font du souci
Sur Terre, les hommes ont abattu leurs idoles
Cassé les statues, ils dansent en farandole
Ils fêtent la venue d’un certain Jésus Christ !
Par peur du déclin, ils abusent d’ambroisie
Sauve qui peut, il faut quitter, la galaxie
Et certains sont atteints d’apoplexie
Panique à Olympie, fini la courtoisie !
Les dieux meurent aussi ! Ils devaient le savoir
Quand les mortels doutent, ils s’inventent un jour
De nouvelles déités, partez pour toujours
Immortels, les humains, vous disent au revoir !
Du pouvoir aristocratique pour Athènes
Ce furent Dracon, Solon et enfin Clisthène
Qui apportèrent chez eux, la démocratie
L’argent entre les mains de la ploutocratie !
De grands rois Darius et Xerxès se dispersent
Deux guerres médiques, victoire sur les Perses
Bataille de Marathon et de Salamine
L'ennemi fut battu et fit drôle de mine !
Des heurts entre Athènes et Sparte la rivale
Règlements militaires, batailles navales
Hostilités du Pélopponèse à l’Attique
De durs combats, dans ces périodes antiques !
Ô dramaturges ! Sophocle, Eschyle, Euripide
La vraie littérature n’est pas insipide
Socrate, Platon, Aristote, philosophes
J'ai pris par vous, plaisir à écrire ces strophes !
Grèce antique en sublimant le corps humain
En offrant, lettres de noblesse à la sculpture
Par l’effort, le travail artistique des mains
Tu magnifies les trésors de notre culture.
Le Kouros est un homme dénudé debout
Mais la Korê devait restait toujours vêtue
Les statues figurent la beauté sans tabou
Et représentent l’idéal par leur statut.
Au Louvre, la Victoire de Samothrace
La femme ailée sur la proue d’un bateau de guerre
C’est un ex-voto, le temps a laissé des traces
Un hommage aux Dieux, déités de naguère.
Le beau Parthénon sur l’acropole d’Athènes
Qui gardait Pallas Athéna de Phidias
La déesse du temple, la belle hellène
Par sa hauteur prenait un large, grand espace.
Colosse de Rhodes, l’imposant monument
Hélios, le dieu soleil, un vrai géant
Servant de porte d’entrée au port, un moment
Tragique, il s’effondra d’un coup dans l’océan.
La Vénus de Milo, au doux nom d’Aphrodite
La création supposée de Praxitèle
Admirer l’esthétique de l’œuvre produite
Et le réalisme du drapé de dentelle.
Du chaos, genèse des forces naturelles
Gaïa engendra les Montagnes et Pontos
Et puis, de son union avec Ouranos
Naîtra douze Titans, six mâles et six femelles.
Les cyclopes et les mystérieux Hécatonchires
Ouranos, par peur, enfouit tous ses enfants
Dans les entrailles de la Terre, et défiant
Le père, Cronos le castre pour l’infléchir.
Du sang de la blessure, naissent les Géants
Les Méliades, les furieuses Erynies
Cronos libère les Titans, mange ses petits
Et Zeus, son fils, lui fait vomir ses descendants.
Venez à moi ! Ô dieux des cités antiques
Sortez de vos tombeaux et passez ce portique
Ô toi ! Ô grand Ra, que ta lumière m’éclaire
Et toi ! Ô Zeus, peux-tu brandir ton bras d’éclair.
Athéna ! Donne-moi, raison, prudence, sagesse
Que ma vie ne soit point que combats et bassesses
Aphrodite ! Ta beauté éblouit mon âme
Que mon cœur ne soit la proie d’un amour infâme.
Hermès ! Toi le messager, apporte-moi chance
Apollon ! Fais que ma poésie soit brillance
Symbole de toute vie, je te prie Isis
Régénère mon corps, comme celui d’Osiris.
Les dieux meurent aussi ! Ils se font du souci
Sur Terre, les hommes ont abattu leurs idoles
Cassé les statues, ils dansent en farandole
Ils fêtent la venue d’un certain Jésus Christ !
Par peur du déclin, ils abusent d’ambroisie
Sauve qui peut, il faut quitter, la galaxie
Et certains sont atteints d’apoplexie
Panique à Olympie, fini la courtoisie !
Les dieux meurent aussi ! Ils devaient le savoir
Quand les mortels doutent, ils s’inventent un jour
De nouvelles déités, partez pour toujours
Immortels, les humains, vous disent au revoir !