- Inscrit
- 19 Octobre 2018
- Messages
- 3,271
- J'aime
- 5,829
- Points
- 173
- Age
- 85
- Localité
- Orléans
- Je suis
- Un homme
Hors ligne
Hélas ! Hélas ! Hélas et quatre fois hélas
Il faut d’un mauvais choix que l’on se débarrasse
Hugolien
Le siècle à vingt quatre ans et il faudrait qu’il parte
Mais hélas il se croit meilleur que Bonaparte
Alors en s’entêtant l’apprenti gouverneur
Au peuple ne montra que son peu de valeur.
Racinien
Un songe, me devrais-je inquiéter d’un songe
Entretient dans mon cœur un chagrin qui le ronge
Je prends des somnifères mais hélas il me suit
C’était pendant l’horreur d’une profonde nuit
La France dépourvue de candidats valables
Se trouva affublée d’un jeunot incapable
Qui se montrant hélas mauvais décisionnaire
Se trouva détesté des masses populaires.
Et le peuple têtu victime des partis
Vint doubler son pouvoir sans nulle garantie.
Cornélien
Son bras qui ne sut pas sans faute nous conduire
Réduisit de la France le déclinable empire
Et en économie les comptes étant boiteux
Les dettes en euros firent l’état malheureux
À moi compte deux mots sais-tu que le pouvoir
A le bonheur du peuple comme unique devoir
Et que tous les verbeux manquant d’expérience
Ne devait recevoir qu’une juste méfiance.
Et comme disait Corneille parlant du quinquennat
Qui ne sait le gérer peu causer des dégâts.
La Fontaineoïdesqsue
On attendait un lion c’est un chat qui sortit
le peuple tout d’abord lui laissa quelque chance
Mais l’animal ayant plus de mots que d’esprit
Dérégla les plateaux de la juste balance.
Il faudrait l’éjecter aurait dit quelque sage
Mais le peuple trompé par quelques extrémistes
Se méfiant de tout fit revenir l’orage
Des sots lui firent élire à nouveau le fumiste.
Et tous les électeurs tant honteux que confus
Clamèrent vivement qu’il nous montre son cul.
Rostandissime
Si j’eusse été élu j’aurais peu hésité
J’aurais su déléguer aux gens de qualité
Et sans avoir trop long l’appendice nasal
J’aurais su séparer ce qui est bien du mal
L’escrime du pouvoir doit atteindre son but
Et qui n’y parvient pas devrait être déchu.
À la fin de l’envoi qui ne touche jamais
Il doit d’être écarté de tout nouveau méfait.
Prétendre se parer d’une grande auréole
Fait que sans qualité la France se désole.
Sadien
Monsieur le fait est là, vous le faites fort mal
Votre amante la France a l’orgasme fort rare
Vous retirer a temps eut été moindre mal
Mais votre vanité d’entêtement se pare.
Et les fausses vertus ayant des infortunes
Il eut été plaisant que vous abandonniez
Un double quinquennat est chose inopportune
La France ne veut plus votre main au panier
Prenez donc un repos que rien ne justifie
L’autosatisfaction ne trompe plus personne
Le peuple désormais chaque fois se méfie
La verve politique ne fait bander personne.
Il faut d’un mauvais choix que l’on se débarrasse
Hugolien
Le siècle à vingt quatre ans et il faudrait qu’il parte
Mais hélas il se croit meilleur que Bonaparte
Alors en s’entêtant l’apprenti gouverneur
Au peuple ne montra que son peu de valeur.
Racinien
Un songe, me devrais-je inquiéter d’un songe
Entretient dans mon cœur un chagrin qui le ronge
Je prends des somnifères mais hélas il me suit
C’était pendant l’horreur d’une profonde nuit
La France dépourvue de candidats valables
Se trouva affublée d’un jeunot incapable
Qui se montrant hélas mauvais décisionnaire
Se trouva détesté des masses populaires.
Et le peuple têtu victime des partis
Vint doubler son pouvoir sans nulle garantie.
Cornélien
Son bras qui ne sut pas sans faute nous conduire
Réduisit de la France le déclinable empire
Et en économie les comptes étant boiteux
Les dettes en euros firent l’état malheureux
À moi compte deux mots sais-tu que le pouvoir
A le bonheur du peuple comme unique devoir
Et que tous les verbeux manquant d’expérience
Ne devait recevoir qu’une juste méfiance.
Et comme disait Corneille parlant du quinquennat
Qui ne sait le gérer peu causer des dégâts.
La Fontaineoïdesqsue
On attendait un lion c’est un chat qui sortit
le peuple tout d’abord lui laissa quelque chance
Mais l’animal ayant plus de mots que d’esprit
Dérégla les plateaux de la juste balance.
Il faudrait l’éjecter aurait dit quelque sage
Mais le peuple trompé par quelques extrémistes
Se méfiant de tout fit revenir l’orage
Des sots lui firent élire à nouveau le fumiste.
Et tous les électeurs tant honteux que confus
Clamèrent vivement qu’il nous montre son cul.
Rostandissime
Si j’eusse été élu j’aurais peu hésité
J’aurais su déléguer aux gens de qualité
Et sans avoir trop long l’appendice nasal
J’aurais su séparer ce qui est bien du mal
L’escrime du pouvoir doit atteindre son but
Et qui n’y parvient pas devrait être déchu.
À la fin de l’envoi qui ne touche jamais
Il doit d’être écarté de tout nouveau méfait.
Prétendre se parer d’une grande auréole
Fait que sans qualité la France se désole.
Sadien
Monsieur le fait est là, vous le faites fort mal
Votre amante la France a l’orgasme fort rare
Vous retirer a temps eut été moindre mal
Mais votre vanité d’entêtement se pare.
Et les fausses vertus ayant des infortunes
Il eut été plaisant que vous abandonniez
Un double quinquennat est chose inopportune
La France ne veut plus votre main au panier
Prenez donc un repos que rien ne justifie
L’autosatisfaction ne trompe plus personne
Le peuple désormais chaque fois se méfie
La verve politique ne fait bander personne.
