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Histoire du masseur conseiller bienfaisant !
Heureux qui m’abandonne il me rend à moi-même
Me dit une cliente en sexuel carême
Je ne sais par pourquoi mon délicat amant
Qui me vit nue hier me quitta promptement
Nous avions tous les deux pourtant de beaux accords
Il faisait des poèmes qui incitait mon corps
À des jeux merveilleux et aux plaisirs exquis
J’étais autant à lui qu’il me semblait conquis.
Ma chère N’auriez vous point changé quelque détail
Faisant que son désir soudainement défaille
Un rien une vétille est parfois susceptible
De rendre un bel amant aux charmes moins sensible.
Étant votre masseur, dévoilez vos beautés
Qui ,je le sais madame, gardent leurs qualités
Et je verrai ainsi si quelque changement
Justifie le départ de votre amant charmant.
La dame se fait Ève en un soupçon de temps
Puis en se retournant dévoile son devant
Et je vois effrayé que cette insouciante
A porté une atteinte à l’ombre luxuriante
Une mode stupide atteignant son physique
Elle s’est fait raser le sommet érotique
Et quelque rasoir fou insolent et pervers
Du doux jardin d’Éros fit un affreux désert
Si votre amant madame a même goût que moi
Je vois ici la cause de son manque d’émoi
La nature a conçu de belles attirances
Ne méritant jamais de telles extravagances
Le soyeux naturel des buissons féminins
Devrait être tenu loin de ses assassins
Et il est des velours attirant le baiser
Qui en disparaissant peuvent tout apaiser.
Imaginez madame l’absence de vigueur
Qu’entraîne le spectacle d’un trop glabre bonheur
Et l’élan dépourvu du spectacle velours
Devient inexistant au moment de l’amour
Le naturel chassé peut revenir bientôt
Si vous laisser pousser votre jardin nouveau
Et votre amant grisé par la tendre repousse
Retrouvera soudain un feu qui ne s’émousse.
Heureux qui m’abandonne il me rend à moi-même
Me dit une cliente en sexuel carême
Je ne sais par pourquoi mon délicat amant
Qui me vit nue hier me quitta promptement
Nous avions tous les deux pourtant de beaux accords
Il faisait des poèmes qui incitait mon corps
À des jeux merveilleux et aux plaisirs exquis
J’étais autant à lui qu’il me semblait conquis.
Ma chère N’auriez vous point changé quelque détail
Faisant que son désir soudainement défaille
Un rien une vétille est parfois susceptible
De rendre un bel amant aux charmes moins sensible.
Étant votre masseur, dévoilez vos beautés
Qui ,je le sais madame, gardent leurs qualités
Et je verrai ainsi si quelque changement
Justifie le départ de votre amant charmant.
La dame se fait Ève en un soupçon de temps
Puis en se retournant dévoile son devant
Et je vois effrayé que cette insouciante
A porté une atteinte à l’ombre luxuriante
Une mode stupide atteignant son physique
Elle s’est fait raser le sommet érotique
Et quelque rasoir fou insolent et pervers
Du doux jardin d’Éros fit un affreux désert
Si votre amant madame a même goût que moi
Je vois ici la cause de son manque d’émoi
La nature a conçu de belles attirances
Ne méritant jamais de telles extravagances
Le soyeux naturel des buissons féminins
Devrait être tenu loin de ses assassins
Et il est des velours attirant le baiser
Qui en disparaissant peuvent tout apaiser.
Imaginez madame l’absence de vigueur
Qu’entraîne le spectacle d’un trop glabre bonheur
Et l’élan dépourvu du spectacle velours
Devient inexistant au moment de l’amour
Le naturel chassé peut revenir bientôt
Si vous laisser pousser votre jardin nouveau
Et votre amant grisé par la tendre repousse
Retrouvera soudain un feu qui ne s’émousse.