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Chaque jour, ils sont là,
A faire le même trajet,
S’accordent leurs pas,
De leurs maisons jusqu’à l'arrêt.
Échangent des expressions,
Sur toutes ces banalités,
La pluie, le beau temps,
Ou sur un sujet d’actualité.
De temps en temps se toisent ,
Quand leurs regards se croisent,
S’échangent leurs soleils,
Petit à petit, l'amitié s'installe.
Vient le jour d'un rendez-vous,
Ils parlent un peu de tout,
Échangent leurs opinions,
En osant quelques élans.
Leurs doigts s’effleurent,
Se retirent avec pudeur,
Craignant une maladresse,
D’une quelconque hardiesse.
Depuis, ils n'échangent plus de banalités,
Mais discutent sans cesse d'actualités,
De tout ce que la vie leur a apporté
Ils se sont ainsi adaptés.
Leur amitié a gardé sa sagesse,
Toutes ses promesses,
D'amour, de tendresse
Leurs jours sont devenus liesse.
Si l'un d’eux est chagrin,
L'autre lui essuie de sa main,
La larme qui brouille son œil,
Fait renaitre enfin le soleil.
A faire le même trajet,
S’accordent leurs pas,
De leurs maisons jusqu’à l'arrêt.
Échangent des expressions,
Sur toutes ces banalités,
La pluie, le beau temps,
Ou sur un sujet d’actualité.
De temps en temps se toisent ,
Quand leurs regards se croisent,
S’échangent leurs soleils,
Petit à petit, l'amitié s'installe.
Vient le jour d'un rendez-vous,
Ils parlent un peu de tout,
Échangent leurs opinions,
En osant quelques élans.
Leurs doigts s’effleurent,
Se retirent avec pudeur,
Craignant une maladresse,
D’une quelconque hardiesse.
Depuis, ils n'échangent plus de banalités,
Mais discutent sans cesse d'actualités,
De tout ce que la vie leur a apporté
Ils se sont ainsi adaptés.
Leur amitié a gardé sa sagesse,
Toutes ses promesses,
D'amour, de tendresse
Leurs jours sont devenus liesse.
Si l'un d’eux est chagrin,
L'autre lui essuie de sa main,
La larme qui brouille son œil,
Fait renaitre enfin le soleil.
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Merci pour le partage cher poète 
