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Histoire malhonnêtement Féerique
Une fée qui avait le feu dans l’entresol
Attendait son amant ; hélas il ne vint pas
Elle avait pour voisin un lutin délicat
Qui lui venez donc pour que je vous console
Se disant qu’après tout le sort peut au lutin
Donner quelque talent afin qu’il batifole
Que peut-être il avait l’érotique auréole
Le prélude soyeux, l’étreinte de satin
La fée était très grande et le lutin petit
Il ferma les volets et dans l’obscurité
Plus de comparaison pas d’inégalité
Qui eut pu de la fée altérer l’appétit
La dame découvrant un zèle des plus doux
Demanda au lutin de doubler sa tendresse
Il fut ingénieux en désirs en caresses
Il exauça la fée qui eut un plaisir fou.
De douceurs excessives en apogées physiques
La dame s’épuisa et bien quelle fut fée
S’étonna qu’un lutin sans une pause-café
Puisse multiplier les sensuelles pratiques
Le lutin après coup prenait peu de repos
Quelques secondes à peine relançaient son ardeur
Gardant même désir, identique vigueur
Il plaisait en classique, il plaisait sur le dos
La trentaine d’étreintes épuisant notre fée
Elle dit cher lutin cessons pour aujourd’hui
L’usure serait la cause d’un détestable ennui
Laissons souffler un peu ma rose décoiffée
Et descendant du lit qui était assez haut
Les meubles de lutin ayant de l’altitude
Elle voulut donner de la féminitude
Aux cheveux dépeignés par trop de libido
Une épingle tomba juste sous le châlit
Pour retrouver l’objet notre fée souplement
Se pencha, découvrit à son étonnement
Que dix petits lutins attendaient sous le lit.
Une fée qui avait le feu dans l’entresol
Attendait son amant ; hélas il ne vint pas
Elle avait pour voisin un lutin délicat
Qui lui venez donc pour que je vous console
Se disant qu’après tout le sort peut au lutin
Donner quelque talent afin qu’il batifole
Que peut-être il avait l’érotique auréole
Le prélude soyeux, l’étreinte de satin
La fée était très grande et le lutin petit
Il ferma les volets et dans l’obscurité
Plus de comparaison pas d’inégalité
Qui eut pu de la fée altérer l’appétit
La dame découvrant un zèle des plus doux
Demanda au lutin de doubler sa tendresse
Il fut ingénieux en désirs en caresses
Il exauça la fée qui eut un plaisir fou.
De douceurs excessives en apogées physiques
La dame s’épuisa et bien quelle fut fée
S’étonna qu’un lutin sans une pause-café
Puisse multiplier les sensuelles pratiques
Le lutin après coup prenait peu de repos
Quelques secondes à peine relançaient son ardeur
Gardant même désir, identique vigueur
Il plaisait en classique, il plaisait sur le dos
La trentaine d’étreintes épuisant notre fée
Elle dit cher lutin cessons pour aujourd’hui
L’usure serait la cause d’un détestable ennui
Laissons souffler un peu ma rose décoiffée
Et descendant du lit qui était assez haut
Les meubles de lutin ayant de l’altitude
Elle voulut donner de la féminitude
Aux cheveux dépeignés par trop de libido
Une épingle tomba juste sous le châlit
Pour retrouver l’objet notre fée souplement
Se pencha, découvrit à son étonnement
Que dix petits lutins attendaient sous le lit.