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Ulysse
Le jeune Ulysse a quitté l’île d’Ythaque
Laissant Pénélope et son fils Télémaque
Mener la guerre contre la ville de Troie
Qui est tombée un soir par un cheval de bois.
Dix ans de combats et encore dix années
A voguer, naviguer en Méditerranée
Que le chemin fut long, puni par les dieux
Il perdit compagnons et leur fit ses adieux.
Calypso, Nausicaa, Cyclopes et Circé
Le mythique héros grec a vécu, surmonté
Bien des périls et un jour, c’est le retour
Sur l’île bien aimée, revoir son amour.
Polyphème
Poséidon ! Personne m'a crevé un œil
Que dis-tu fils ? Es-tu sain d'esprit Polyphème ?
Mais Père ! J'ai perdu la vue, voilà mon deuil
Le maudit prend la mer à bord d'une trirème.
Et moi qui suit un géant, comment me venger ?
Venez frères Cyclopes, unissons nos forces
Combattons cet homme, bravons tous les dangers
A mort l'humain et que nos actes soient féroces.
Tous les demi-dieux se gaussent du malheureux
Qui ne comprend pas leurs sarcasmes, leurs railleries
Personne t'a blessé, le sujet est scabreux
A t'aider, nous allons subir des moqueries !
Mer amère !
J’ai lu les œuvres d’Homère
Rêver d’Ulysse sur la mer
Laissant à Ithaque son fils et sa mère
Sur les eaux d’un bleu outremer
Son voyage aux conditions sommaires
Et ces Dieux aux réactions primaires
Ulysse as-tu couru après des chimères
Tu as connu quelques joies éphémères
Mais au fond de toi la leçon fut amère !
Le jeune Ulysse a quitté l’île d’Ythaque
Laissant Pénélope et son fils Télémaque
Mener la guerre contre la ville de Troie
Qui est tombée un soir par un cheval de bois.
Dix ans de combats et encore dix années
A voguer, naviguer en Méditerranée
Que le chemin fut long, puni par les dieux
Il perdit compagnons et leur fit ses adieux.
Calypso, Nausicaa, Cyclopes et Circé
Le mythique héros grec a vécu, surmonté
Bien des périls et un jour, c’est le retour
Sur l’île bien aimée, revoir son amour.
Polyphème
Poséidon ! Personne m'a crevé un œil
Que dis-tu fils ? Es-tu sain d'esprit Polyphème ?
Mais Père ! J'ai perdu la vue, voilà mon deuil
Le maudit prend la mer à bord d'une trirème.
Et moi qui suit un géant, comment me venger ?
Venez frères Cyclopes, unissons nos forces
Combattons cet homme, bravons tous les dangers
A mort l'humain et que nos actes soient féroces.
Tous les demi-dieux se gaussent du malheureux
Qui ne comprend pas leurs sarcasmes, leurs railleries
Personne t'a blessé, le sujet est scabreux
A t'aider, nous allons subir des moqueries !
Mer amère !
J’ai lu les œuvres d’Homère
Rêver d’Ulysse sur la mer
Laissant à Ithaque son fils et sa mère
Sur les eaux d’un bleu outremer
Son voyage aux conditions sommaires
Et ces Dieux aux réactions primaires
Ulysse as-tu couru après des chimères
Tu as connu quelques joies éphémères
Mais au fond de toi la leçon fut amère !
