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Irréalité numérique !
Le temps désorganise et il n’a pas permis
Que plus précocement se fasse la rencontre
De l’apprenti poète qui voit courir sa montre
Et de la douce muse dont le style est exquis
Il est vrai que lui vint un peu tard l’écriture
Alors que bien moins d’ans montraient votre talent
Il osa exprimer un sentiment galant
En des vers décrivant son aimante nature
Avec délicatesse une onde l’emporta
Et lui faisant encrer des lignes d’espérance
Il vous dit mille fois sa sincère attirance
Et de son cœur atteint le lamentable état
Car Il ressentait bien que l’âge est un obstacle
Et que l’expérience est un bien relatif
Le cœur à s’enflammer se plaît à être hâtif
Puis de l’envie le corps devient le réceptacle.
Vous l’attiriez de loin la distance torture
Mais dans l’imaginaire on peut chérir aussi
Vous étiez jour et nuit son unique souci
Son unique sujet de nocturne écriture
De pensées vagabondes en audaces d’esprit
Il matérialisait quelque songe incroyable
Où vous étiez hélas lointaine et désirable
Au piège de vos charmes il ne put qu’être pris
Il vous donna alors des essais poétiques
Dont la source se trouve au plus profond du cœur
Et parfois cupidon voulant rester vainqueur
Lui faisait envoyer des rimes magnifiques
Puis le temps s’écoula en échanges si doux
Qu’il devint le captif d’un tendre sentiment
On peut dans le silence avec acharnement
Adorer une fleur qui pousse loin de vous.
Il s’usait peu à peu son sablier fuyant
L’espoir d’une rencontre étant hypothétique
Il fallut renoncer à un accord magique
L’informatique restant seul bonheur attrayant.
Et de prendre de l’âge étouffant tout possible
Il dut se résigner à n’être qu’écrivain
Vivant un amour qui se tut et resta vain
Il y a des bonheurs restant inaccessibles.
Il reste en son esprit une tendre gravure
vous restez de son cœur le bonheur passager
Le temps ne lui permit que d’être messager
D’une douceur écrite indicible blessure.
Le temps désorganise et il n’a pas permis
Que plus précocement se fasse la rencontre
De l’apprenti poète qui voit courir sa montre
Et de la douce muse dont le style est exquis
Il est vrai que lui vint un peu tard l’écriture
Alors que bien moins d’ans montraient votre talent
Il osa exprimer un sentiment galant
En des vers décrivant son aimante nature
Avec délicatesse une onde l’emporta
Et lui faisant encrer des lignes d’espérance
Il vous dit mille fois sa sincère attirance
Et de son cœur atteint le lamentable état
Car Il ressentait bien que l’âge est un obstacle
Et que l’expérience est un bien relatif
Le cœur à s’enflammer se plaît à être hâtif
Puis de l’envie le corps devient le réceptacle.
Vous l’attiriez de loin la distance torture
Mais dans l’imaginaire on peut chérir aussi
Vous étiez jour et nuit son unique souci
Son unique sujet de nocturne écriture
De pensées vagabondes en audaces d’esprit
Il matérialisait quelque songe incroyable
Où vous étiez hélas lointaine et désirable
Au piège de vos charmes il ne put qu’être pris
Il vous donna alors des essais poétiques
Dont la source se trouve au plus profond du cœur
Et parfois cupidon voulant rester vainqueur
Lui faisait envoyer des rimes magnifiques
Puis le temps s’écoula en échanges si doux
Qu’il devint le captif d’un tendre sentiment
On peut dans le silence avec acharnement
Adorer une fleur qui pousse loin de vous.
Il s’usait peu à peu son sablier fuyant
L’espoir d’une rencontre étant hypothétique
Il fallut renoncer à un accord magique
L’informatique restant seul bonheur attrayant.
Et de prendre de l’âge étouffant tout possible
Il dut se résigner à n’être qu’écrivain
Vivant un amour qui se tut et resta vain
Il y a des bonheurs restant inaccessibles.
Il reste en son esprit une tendre gravure
vous restez de son cœur le bonheur passager
Le temps ne lui permit que d’être messager
D’une douceur écrite indicible blessure.