Hors ligne
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J’ai regardé la lumière pour qu’elle me donne la nuit
J’ai demandé à la vie de rester là sans bruit
J’ai essayé de respirer l’air que je n’avais pas
Mes yeux pleuraient au rythme de tous mes pas
Je ne voyais pas le bout du chemin, comme foudroyé
Seul là, isolé, j’ai senti la vie m’abandonner
J’étais parti pour un long chemin intemporel
Là où la vie n’était pas complètement réelle
Mon corps, déréglé comme l’horloge au mur
Je me sens empoisonné au cyanure
Mes pensées ne sont plus diatoniques
Mon esprit n’est plus synchronisé au physique
Comme dans un été où le soleil brille
J’ai très froid même serré dans tes doux bras
Ne me quitte pas comme un simple habille
Reste avec moi, surtout reste en moi
De mes souffrances, je ne voyais qu’une espérance
De ce négatif, je devais en tirer le positif
Une nuit noire, accompagnée d’étoiles toutes éloignées
Je devais combattre et chercher, les spectres guerriers
Ils ont brandi leurs fusils, les futiles
Il fallait un coupable aux versatiles
Ils ont tiré sans identifier le gibier
En effet tunnel, comme tous alcoolisés
Mes armes seront, que notre complicité, nos sentiments
La guerre sera rude, sans prisonnier, sans jugement
Animé d’un profond instinct et de grandes passions
A terre, à genoux, je me relèverai sans compassion
Forgé d’une confiance, au feu intense de Vulcain
Je ne suis pas qu’un rustre, encore moins un pétrousquin
Mon esprit n’est pas vengeance, et ne pas être Hadès
L’homme aux regards sur la vie, comme Argos Panoptès
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(¸. •´ (¸. •´ (¸. •*´¯`*•> CHARLY
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J’ai regardé la lumière pour qu’elle me donne la nuit
J’ai demandé à la vie de rester là sans bruit
J’ai essayé de respirer l’air que je n’avais pas
Mes yeux pleuraient au rythme de tous mes pas
Je ne voyais pas le bout du chemin, comme foudroyé
Seul là, isolé, j’ai senti la vie m’abandonner
J’étais parti pour un long chemin intemporel
Là où la vie n’était pas complètement réelle
Mon corps, déréglé comme l’horloge au mur
Je me sens empoisonné au cyanure
Mes pensées ne sont plus diatoniques
Mon esprit n’est plus synchronisé au physique
Comme dans un été où le soleil brille
J’ai très froid même serré dans tes doux bras
Ne me quitte pas comme un simple habille
Reste avec moi, surtout reste en moi
De mes souffrances, je ne voyais qu’une espérance
De ce négatif, je devais en tirer le positif
Une nuit noire, accompagnée d’étoiles toutes éloignées
Je devais combattre et chercher, les spectres guerriers
Ils ont brandi leurs fusils, les futiles
Il fallait un coupable aux versatiles
Ils ont tiré sans identifier le gibier
En effet tunnel, comme tous alcoolisés
Mes armes seront, que notre complicité, nos sentiments
La guerre sera rude, sans prisonnier, sans jugement
Animé d’un profond instinct et de grandes passions
A terre, à genoux, je me relèverai sans compassion
Forgé d’une confiance, au feu intense de Vulcain
Je ne suis pas qu’un rustre, encore moins un pétrousquin
Mon esprit n’est pas vengeance, et ne pas être Hadès
L’homme aux regards sur la vie, comme Argos Panoptès
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