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J’ai rêvé une fois…Que j’écrivais pour toi.
J’ai souvent écris sous ton toit,
Lorsque le vide imbibait la courbe de l’absence,
Et sur ma page blanche, il s’approchât et se penche,
N’hésitant à embrasser mes fleurs de mots…
Fleurissantes que je cueillis, que j’accroche,
Autour d’un souhait crié du fond de mon silence…
Souvent… Et je restais consciente...
Je te voyais de l’intérieur, me sourire avec les yeux,
Ta présence m’adaptait dans un doux vertige
Et sur les flots de la passion, je me voyais mourir,
Par un mot martyr, où la parole choisit de s’enfuir…
Vers toi courait-elle ? ou derrière un rêve ! Ou j’attige ?!
Souvent… Et j’écrivais encore…
Dans un berceau que m’accueillait le bord,
Sur un fleuve, couleur azur de tes mots…
Emportant mon destin, fuyant les courants du désaccord,
Et j’abandonnais ma demeure pour te rejoindre au nord,
Qui, du lever de son regard choisit nos corps…
Pour que l’aube le quitta et nous serra si fort !
Poissonette (Alosa Salar).
[NB/ 14-11-11]
J’ai souvent écris sous ton toit,
Lorsque le vide imbibait la courbe de l’absence,
Et sur ma page blanche, il s’approchât et se penche,
N’hésitant à embrasser mes fleurs de mots…
Fleurissantes que je cueillis, que j’accroche,
Autour d’un souhait crié du fond de mon silence…
Souvent… Et je restais consciente...
Je te voyais de l’intérieur, me sourire avec les yeux,
Ta présence m’adaptait dans un doux vertige
Et sur les flots de la passion, je me voyais mourir,
Par un mot martyr, où la parole choisit de s’enfuir…
Vers toi courait-elle ? ou derrière un rêve ! Ou j’attige ?!
Souvent… Et j’écrivais encore…
Dans un berceau que m’accueillait le bord,
Sur un fleuve, couleur azur de tes mots…
Emportant mon destin, fuyant les courants du désaccord,
Et j’abandonnais ma demeure pour te rejoindre au nord,
Qui, du lever de son regard choisit nos corps…
Pour que l’aube le quitta et nous serra si fort !
Poissonette (Alosa Salar).
[NB/ 14-11-11]