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J’aime te regarder dormir,
Sur ton visage le sourire
Compagnon de tes rêveries,
Je crois que l’amour nous survit,
Peut-être dans une autre vie
Nos cœurs se sont déjà souris ?
Mes pas ont foulé ton destin,
La peur a quitté son fortin.
J’aime t’écouter me parler
De ces guerriers au teint halé
Parcourant ton imaginaire,
Toujours prêts à faire la guerre,
Univers à deux hémisphères,
Les justes bravant les vipères.
Mes pas ont foulé ton destin,
La peur a quitté son fortin.
J’aime partager tes chagrins,
Séparer l’ivraie du bon grain
Dans le concert de tes "pourquoi",
Te raconter ce qu'est la foi
D'avoir toujours confiance en toi,
Que la peur n'est pas une loi !
Mes pas ont foulé ton destin,
La peur a quitté son fortin.
J'aime t'avouer mon amour,
Ma joie de partager tes jours,
Même si j'avais le pouvoir
De réécrire mon histoire,
Je n'échangerais pas un soir
Contre un parcours sans tes yeux noirs.
Mes pas ont foulé ton destin,
La peur a quitté son fortin.
Manuel Susierra
J’aime te regarder dormir,
Sur ton visage le sourire
Compagnon de tes rêveries,
Je crois que l’amour nous survit,
Peut-être dans une autre vie
Nos cœurs se sont déjà souris ?
Mes pas ont foulé ton destin,
La peur a quitté son fortin.
J’aime t’écouter me parler
De ces guerriers au teint halé
Parcourant ton imaginaire,
Toujours prêts à faire la guerre,
Univers à deux hémisphères,
Les justes bravant les vipères.
Mes pas ont foulé ton destin,
La peur a quitté son fortin.
J’aime partager tes chagrins,
Séparer l’ivraie du bon grain
Dans le concert de tes "pourquoi",
Te raconter ce qu'est la foi
D'avoir toujours confiance en toi,
Que la peur n'est pas une loi !
Mes pas ont foulé ton destin,
La peur a quitté son fortin.
J'aime t'avouer mon amour,
Ma joie de partager tes jours,
Même si j'avais le pouvoir
De réécrire mon histoire,
Je n'échangerais pas un soir
Contre un parcours sans tes yeux noirs.
Mes pas ont foulé ton destin,
La peur a quitté son fortin.
Manuel Susierra