Hors ligne
Admirant le lacté de son voile si long
Je perçois au travers, le corps d'une déesse
A qui j'aimerai tant offrir douce caresse
Je me prends a rêver, être Dieu Aquilon
Je soufflerai alors, ô si fort sur son voile
Qu'elle m'apparaîtra dans toute sa splendeur
La prendrai dans mes bras, lui ouvrirai mon cœur
Et la réchaufferai au feu de mon étoile.
S'embraseront nos corps, interdits de pudeur.
Je perçois au travers, le corps d'une déesse
A qui j'aimerai tant offrir douce caresse
Je me prends a rêver, être Dieu Aquilon
Je soufflerai alors, ô si fort sur son voile
Qu'elle m'apparaîtra dans toute sa splendeur
La prendrai dans mes bras, lui ouvrirai mon cœur
Et la réchaufferai au feu de mon étoile.
S'embraseront nos corps, interdits de pudeur.