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<< JE SENS PARTIR TON ÂME >>
"Quand assise le soir, au bord de ta fenêtre,"
Je te vois perdre espoir, frissonnant de sanglots,
Je regarde impuissant, la disgrâce d'un être,
Par un mal si puissant blâmer les angelots...
La batterie de soins aurait dû te permettre,
De tenir sans douleur et plus longtemps à flot,
Mais, hélas, le Malin ne peut plus te promettre,
Longévité du coeur dans ce corps si pâlot...
"Devant un coin du ciel qui brille entre les toits,"
Un orage partiel semble n'héler que toi,
Il gronde en tant d'éclairs et de façon infâme.
Tu me donnes ta main, m'accordes ton regard,
Une larme t'étreint, je sens partir ton âme...
Maintenant tout est clair : tu me laisses hagard.
26 juin 2022
"Quand assise le soir, au bord de ta fenêtre,"
Je te vois perdre espoir, frissonnant de sanglots,
Je regarde impuissant, la disgrâce d'un être,
Par un mal si puissant blâmer les angelots...
La batterie de soins aurait dû te permettre,
De tenir sans douleur et plus longtemps à flot,
Mais, hélas, le Malin ne peut plus te promettre,
Longévité du coeur dans ce corps si pâlot...
"Devant un coin du ciel qui brille entre les toits,"
Un orage partiel semble n'héler que toi,
Il gronde en tant d'éclairs et de façon infâme.
Tu me donnes ta main, m'accordes ton regard,
Une larme t'étreint, je sens partir ton âme...
Maintenant tout est clair : tu me laisses hagard.
26 juin 2022