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Journée originale de poésie mondiale
Ma voisine me dit fêtons la poésie
Rimez moi du sérieux ou de la fantaisie
Ayez un peu d’audace osez de l’inédit
Bref fabulez un peu sur quelques interdits.
Ma chère l’occasion n’étant pas quotidienne
Et puisque nos deux portes se trouvent mitoyennes
Répondez franchement adorable Adrienne
Êtes-vous vaginale ou bien clitoridienne
Monsieur cela dépend de l’envie de la hâte
Un plaisant préambule est chose délicate
Sans attente parfois vient un magnificat
Mais l’amoureux stratège bien souvent épate
Prendre son temps jamais ne sera ridicule
Sur le fil du désir plaisir est funambule
Et inventer des jeux servant de préambule
Peut mener au partage de la joie majuscule
L’approche est un moment plaisant mais chronophage
Du livre féminin il faut tourner les pages
Avec une douceur préparant à l’hommage
Mais provoquant le feu conduisant au partage
L’onde de mon désir par le temps n’est pas prise
Ses vagues permettant toutes les gourmandises
Je reste à un prologue totalement soumise
Préfacez longuement votre tendre entreprise
Mon envie par vos soins se faisant grandissante
Menez moi je vous prie à la vague naissante
Et d’un joie première étant concupiscente
Soumettez moi monsieur aux délices croissantes
Certes de l’érotisme j’aime l’audace des rimes
Il me plaît de commettre le plus tendre des crimes
Mais cela fait huit fois qu’à plaire je m’escrime
Et l’instrument plaisant lentement se déprime
Il faudrait Adrienne un repos une pause
Ou une aide de vous pour relancer la chose
Car si la fleur exquise habillement propose
La tension de l’amant ne plaide plus sa cause.
Dommage dit Adrienne après un tendre effort
Je voulais d’érotisme battre un ancien record
Je viendrai l’an prochain rimer avec renforts
Pour que ma libido soit menée à bon port.
Ma voisine me dit fêtons la poésie
Rimez moi du sérieux ou de la fantaisie
Ayez un peu d’audace osez de l’inédit
Bref fabulez un peu sur quelques interdits.
Ma chère l’occasion n’étant pas quotidienne
Et puisque nos deux portes se trouvent mitoyennes
Répondez franchement adorable Adrienne
Êtes-vous vaginale ou bien clitoridienne
Monsieur cela dépend de l’envie de la hâte
Un plaisant préambule est chose délicate
Sans attente parfois vient un magnificat
Mais l’amoureux stratège bien souvent épate
Prendre son temps jamais ne sera ridicule
Sur le fil du désir plaisir est funambule
Et inventer des jeux servant de préambule
Peut mener au partage de la joie majuscule
L’approche est un moment plaisant mais chronophage
Du livre féminin il faut tourner les pages
Avec une douceur préparant à l’hommage
Mais provoquant le feu conduisant au partage
L’onde de mon désir par le temps n’est pas prise
Ses vagues permettant toutes les gourmandises
Je reste à un prologue totalement soumise
Préfacez longuement votre tendre entreprise
Mon envie par vos soins se faisant grandissante
Menez moi je vous prie à la vague naissante
Et d’un joie première étant concupiscente
Soumettez moi monsieur aux délices croissantes
Certes de l’érotisme j’aime l’audace des rimes
Il me plaît de commettre le plus tendre des crimes
Mais cela fait huit fois qu’à plaire je m’escrime
Et l’instrument plaisant lentement se déprime
Il faudrait Adrienne un repos une pause
Ou une aide de vous pour relancer la chose
Car si la fleur exquise habillement propose
La tension de l’amant ne plaide plus sa cause.
Dommage dit Adrienne après un tendre effort
Je voulais d’érotisme battre un ancien record
Je viendrai l’an prochain rimer avec renforts
Pour que ma libido soit menée à bon port.
