Poème La cité éternelle

La citadelle éternelle

C'est une citadelle endormie
perchée sur un rocher , tel un nid,
entourée de brumes d'argent,
au jour, au levant.

Une cité perdue,
dans le temps suspendue,
des méditations, du calme,
en ces murs précieux,
où résonne l'écho des âmes,
venues chercher le chemin en ce lieu.

Des sons ruissellent,
tintements de clochettes,
chants d'alouettes,
des bruits d'éveil,
qui s'écoulent dans une source de soleil,
c'est la vie qui bruisse à l'oreille.

Des bruits vivifiants et joyeux,
qui s'adressent aux cœurs courageux.
Des battements de paix,
des fluides dorés,
qui envahissent l'être,
l'invite à se reposer,
et l'esprit voyage au gré des sens,
et comprend l'existence.

Un roc inaccessible, un piège,
pour hommes fous et faux,
qui par quelque sortilège,
n'atteignent jamais le haut.
Seuls les sages parviennent au sommet,
volonté et foi ne leur font pas défaut.

Une citadelle drapée dans la nature,
des péchés, elle est pure,
mille et mille prières envolées.
Un monastère qui disparaît,
la nuit, au couchant.
Étoiles et rayons de lune le protègent,
forment cortège,
gardiens en ribambelle.
De l'ombre, des notes, un solfège,
s'élèvent d'une beauté spirituelle.






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Une cité perdue,
dans le temps suspendue,
des méditations, du calme,
en ces murs précieux,
où résonne l'écho des âmes,
venues chercher le chemin en ce lieu.

Des sons ruissellent,
tintements de clochettes,
chants d'alouettes,
des bruits d'éveil,
qui s'écoulent dans une source de soleil,
c'est la vie qui bruisse à l'oreille.

Des bruits vivifiants et joyeux,
qui s'adressent aux cœurs courageux.
Des battements de paix,
des fluides dorés,
qui envahissent l'être,
l'invite à se reposer,
et l'esprit voyage au gré des sens,
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Rose ***
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Un roc inaccessible, un piège,
pour hommes fous et faux,
qui par quelque sortilège,
n'atteignent jamais le haut.
Seuls les sages parviennent au sommet,
volonté et foi ne leur font pas défaut.

MERCI​