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La douce feuillée.....
La dame sous mousseline déshabillée,
N’éclipsait pas ses tendres jouets indiscrets,
Lisait sa peau, l’écrit à la douce feuillée,
Offrait à mon empan tremblant, posé de près.
Allongée sur le marbre, face à ma chaise,
Ses minces bras en croix, minaudant de ses mains,
La belle était l’anguille en frémissante d’aise,
Ses seins roses destinaient, délicieuses fins.
Tel un candélabre et je fondais comme cire,
Son petit trésor en entre jambe, buissonnier,
Faisait cligner mes yeux perdus en son sourire,
Destin d’une fleur sans épine, d’un rosier.
J’ôtais cette chaîne d’or, caresse de chevilles,
Sans geste précis, son vélin rendit brutal,
Sa voix, d’une flûte ovationnée de trilles,
Fît goûter un minou dessiné de cristal.
En phase de guérilla, fut haillon la chemise,
Mènent les soubresauts, nulle faim de finir,
Toute fantaisie au menu, lui était permise,
La rage en mon corps simulait de la punir.
Bouton de rose alangui au bord de lèvre,
J’affrontais ses cils noirs, baissés sur ses beaux yeux,
Sa chute de rein ne pouvait pas être mièvre,
Altier port de front qui ne mendiait mieux.
Jouer de mon sabir, n’avait de phrases à dire,
La pointe arquait dessert de son aimable sein,
Mon phallus aux aguets vêtit son trouble en rire,
Le pire ou le meilleur ; elle enviait mon bien.
La dame sous mousseline déshabillée,
N’éclipsait pas ses tendres jouets indiscrets,
Lisait sa peau, l’écrit à la douce feuillée,
Offrait à mon empan tremblant, posé de près.
LILASYS
La dame sous mousseline déshabillée,
N’éclipsait pas ses tendres jouets indiscrets,
Lisait sa peau, l’écrit à la douce feuillée,
Offrait à mon empan tremblant, posé de près.
Allongée sur le marbre, face à ma chaise,
Ses minces bras en croix, minaudant de ses mains,
La belle était l’anguille en frémissante d’aise,
Ses seins roses destinaient, délicieuses fins.
Tel un candélabre et je fondais comme cire,
Son petit trésor en entre jambe, buissonnier,
Faisait cligner mes yeux perdus en son sourire,
Destin d’une fleur sans épine, d’un rosier.
J’ôtais cette chaîne d’or, caresse de chevilles,
Sans geste précis, son vélin rendit brutal,
Sa voix, d’une flûte ovationnée de trilles,
Fît goûter un minou dessiné de cristal.
En phase de guérilla, fut haillon la chemise,
Mènent les soubresauts, nulle faim de finir,
Toute fantaisie au menu, lui était permise,
La rage en mon corps simulait de la punir.
Bouton de rose alangui au bord de lèvre,
J’affrontais ses cils noirs, baissés sur ses beaux yeux,
Sa chute de rein ne pouvait pas être mièvre,
Altier port de front qui ne mendiait mieux.
Jouer de mon sabir, n’avait de phrases à dire,
La pointe arquait dessert de son aimable sein,
Mon phallus aux aguets vêtit son trouble en rire,
Le pire ou le meilleur ; elle enviait mon bien.
La dame sous mousseline déshabillée,
N’éclipsait pas ses tendres jouets indiscrets,
Lisait sa peau, l’écrit à la douce feuillée,
Offrait à mon empan tremblant, posé de près.
LILASYS