Hors ligne
La nature m’envoie des faire-parts de délicatesse
Les bruyères frémissent
sous les sceaux du vent,
et de tes paumes si douces,
Toi ma Muse, ma Fée aux ailes d’eau.
Vois,
la nature m’envoie des faire-parts de délicatesse,
et des parfums suaves pour t’honorer,
et saluer les palimpsestes de tes halos,
les jardins du printemps font
un salut aux couleurs du monde,
toi qui vis sans cesse à portée de la Lumière,
enflamme maintenant
les baldaquins des mousses et des herbes,
je veux arpenter la pluie de ta longue chevelure d’ébène,
et me fixer aux armoiries de ton sourire,
sème la poussière d’or de mes poésies.
Le Soleil éclabousse la terre,
et les cailloux du chemin,
je suis née à l’embouchure de ta joie,
avec la glaise de tes mots,
habite dans la nef de mes désirs,
en l’hymne de notre éternité,
laisse-moi devenir le chant des oiseaux qui berce
chacun de tes gestes,
laisse-moi me balancer à la scansion de tes bottines
dès que tu déambules
parmi
l’hostie des rivages.
Toi qui ne fais jamais vœu de silence.
avance sur les strophes des jours,
oins le tulle des arbres qui se dressent
à l’infini,
et énonce
à la langue des vents
la
voie lactée de notre Amour !
Sophie Rivière
Les bruyères frémissent
sous les sceaux du vent,
et de tes paumes si douces,
Toi ma Muse, ma Fée aux ailes d’eau.
Vois,
la nature m’envoie des faire-parts de délicatesse,
et des parfums suaves pour t’honorer,
et saluer les palimpsestes de tes halos,
les jardins du printemps font
un salut aux couleurs du monde,
toi qui vis sans cesse à portée de la Lumière,
enflamme maintenant
les baldaquins des mousses et des herbes,
je veux arpenter la pluie de ta longue chevelure d’ébène,
et me fixer aux armoiries de ton sourire,
sème la poussière d’or de mes poésies.
Le Soleil éclabousse la terre,
et les cailloux du chemin,
je suis née à l’embouchure de ta joie,
avec la glaise de tes mots,
habite dans la nef de mes désirs,
en l’hymne de notre éternité,
laisse-moi devenir le chant des oiseaux qui berce
chacun de tes gestes,
laisse-moi me balancer à la scansion de tes bottines
dès que tu déambules
parmi
l’hostie des rivages.
Toi qui ne fais jamais vœu de silence.
avance sur les strophes des jours,
oins le tulle des arbres qui se dressent
à l’infini,
et énonce
à la langue des vents
la
voie lactée de notre Amour !
Sophie Rivière