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La plage, la vague, l’océan !
Le soleil au zénith, sous un ciel azur
Je marche, seul et libre, me sens Robinson
En osmose, avec les éléments, la nature
Aux couleurs bigarrées, me met en pamoison.
Un léger vent marin, soulève les cheveux
Il caresse de ses doigts, la peau de la mer
Elle frémit de plaisir, de ce jeu amoureux
Et des vagues, pousse les embruns vers la terre.
Un instant, je m’arrête devant la beauté
De l’océan, tout est grand, calme et naturel
Tel un tableau vivant, virginale pureté
Qui a gardé en lui, son aspect temporel.
Sur la plage, au sable blanc, je peux entendre
Passer au dessus de moi, un vol gracieux
D’oiseaux, allant pêcher, plonger et surprendre
Les poissons, emportant ce butin précieux.
Et je vois au loin, naviguer un beau trois-mâts
Toutes voiles dehors, il vogue sur les flots
Fier et orgueilleux, de ce panorama
Je rêve d’être pirate, un vrai héros !
Je me laisse bercer par le bruit des vagues
Qui viennent mourir, aux abords des rochers
Ce doux clapotis reposant, je divague
Et je m’endors, au milieu des palmiers.
Minuit, parmi un champ d’étoiles, j’aperçois
Les tendres rayons de lune, se refléter
Dans les eaux turquoise du lagon, j’entrevois
Ma vie au paradis, en cette nuit d’été !
Assis devant les flots, contemplant l’océan
Je songe à ces marées, au rythme bienséant
Venant du grand large, s’endormir sur la grève
Répétant leurs mouvements et toujours sans trêve.
Voir, la vague sauvage étendant son emprise
Et qui va se briser sur les falaises grises
Ses paquets d’eau salée, lourds et massifs
Arrachant la chair, de leurs coups successifs.
Qui vient s’écraser, en tapis de galets
Et la mer chaque fois, effectue son ballet
De houle et de ressac, amenant sur la plage
Carapaces de crustacés et coquillages.
Si un jour, un doux cheval d’écume m’emporte
Sur son dos, pour naviguer, vers une île accorte
Je prendrais pour tout bagage, qu’un seul objet
Un livre de souvenirs, durant le trajet.
Je serais Robinson, attendant Vendredi
Je bâtirais un toit, en un après-midi
Un long morceau de bois et quelques hameçons
J’irais sous l’eau, pêcher des poissons polissons.
A tous les amateurs, que je ne connais pas
Venez faire escale, sur mon rêve sympa
Capitaine au long cours, skipper de l’aventure
Je vous mènerai vivre près de la nature !
Je vois le crépuscule aux lueurs jaunes lin
Effleurer la peau azurée de l’océan
Le soleil s’endort dans les flots, de doux câlins
D’écume le bercent de leurs chants reposants.
Un léger vent du large soulève le sable
Laissant apparaître sur le sol, coquillages
Et quelques crabes, sur la plage vénérable
La mer emporte les traces de leur sillage.
Mon corps est resté sur terre, l’esprit m’a quitté
Pour voguer vers les îles de Polynésie
Sur un voilier blanc, il rêve d’habiter
Ces lieux magiques, aux couleurs fantaisie.
Qui est ce bel et grand oiseau, libre, fier
Qui défie les éléments, heureux roi des cieux
Je t’envie de désir ! Tu peux magnifier
La beauté du monde, de ton vol gracieux !
Le soleil au zénith, sous un ciel azur
Je marche, seul et libre, me sens Robinson
En osmose, avec les éléments, la nature
Aux couleurs bigarrées, me met en pamoison.
Un léger vent marin, soulève les cheveux
Il caresse de ses doigts, la peau de la mer
Elle frémit de plaisir, de ce jeu amoureux
Et des vagues, pousse les embruns vers la terre.
Un instant, je m’arrête devant la beauté
De l’océan, tout est grand, calme et naturel
Tel un tableau vivant, virginale pureté
Qui a gardé en lui, son aspect temporel.
Sur la plage, au sable blanc, je peux entendre
Passer au dessus de moi, un vol gracieux
D’oiseaux, allant pêcher, plonger et surprendre
Les poissons, emportant ce butin précieux.
Et je vois au loin, naviguer un beau trois-mâts
Toutes voiles dehors, il vogue sur les flots
Fier et orgueilleux, de ce panorama
Je rêve d’être pirate, un vrai héros !
Je me laisse bercer par le bruit des vagues
Qui viennent mourir, aux abords des rochers
Ce doux clapotis reposant, je divague
Et je m’endors, au milieu des palmiers.
Minuit, parmi un champ d’étoiles, j’aperçois
Les tendres rayons de lune, se refléter
Dans les eaux turquoise du lagon, j’entrevois
Ma vie au paradis, en cette nuit d’été !
Assis devant les flots, contemplant l’océan
Je songe à ces marées, au rythme bienséant
Venant du grand large, s’endormir sur la grève
Répétant leurs mouvements et toujours sans trêve.
Voir, la vague sauvage étendant son emprise
Et qui va se briser sur les falaises grises
Ses paquets d’eau salée, lourds et massifs
Arrachant la chair, de leurs coups successifs.
Qui vient s’écraser, en tapis de galets
Et la mer chaque fois, effectue son ballet
De houle et de ressac, amenant sur la plage
Carapaces de crustacés et coquillages.
Si un jour, un doux cheval d’écume m’emporte
Sur son dos, pour naviguer, vers une île accorte
Je prendrais pour tout bagage, qu’un seul objet
Un livre de souvenirs, durant le trajet.
Je serais Robinson, attendant Vendredi
Je bâtirais un toit, en un après-midi
Un long morceau de bois et quelques hameçons
J’irais sous l’eau, pêcher des poissons polissons.
A tous les amateurs, que je ne connais pas
Venez faire escale, sur mon rêve sympa
Capitaine au long cours, skipper de l’aventure
Je vous mènerai vivre près de la nature !
Je vois le crépuscule aux lueurs jaunes lin
Effleurer la peau azurée de l’océan
Le soleil s’endort dans les flots, de doux câlins
D’écume le bercent de leurs chants reposants.
Un léger vent du large soulève le sable
Laissant apparaître sur le sol, coquillages
Et quelques crabes, sur la plage vénérable
La mer emporte les traces de leur sillage.
Mon corps est resté sur terre, l’esprit m’a quitté
Pour voguer vers les îles de Polynésie
Sur un voilier blanc, il rêve d’habiter
Ces lieux magiques, aux couleurs fantaisie.
Qui est ce bel et grand oiseau, libre, fier
Qui défie les éléments, heureux roi des cieux
Je t’envie de désir ! Tu peux magnifier
La beauté du monde, de ton vol gracieux !